divers

Publié le 13 Janvier 2022

 

La forêt était dans l’obscurité, on entendait déjà les oiseaux de nuit se préparer à chercher leur nourriture.

Croa, Croa faisaient les corbeaux nous rasant la tête.

 Hou, Hou disait la chouette hulotte.

La fée Carabosse nous avait indiquée une route à suivre, des traces blanches sur les arbres !!

Mais voilà que notre direction se trouva détournée, des aiguilles enneigées nous faisaient face.

Carabosse, perfide et diabolique gardait son secret !!!!

Par le plus grand des hasards, une vieille bâtisse nous attira, avec prudence et difficulté, nous poussions la porte, car ce vieux parapluie cassé obstruait l’ouverture.

Nous l’avons trouvé, déchiré, usé, il nous attendait.

De loin, il nous apparu une silhouette s’échappant sur un vieux balai, tout en riant, les corbeaux et les chouettes l’avaient rejointe  dans la nuit.

Nous avons pu prendre du repos d’un œil, car l’endroit ne se prêtait guère au laisser aller.

Nadine et votre servante, en faisons encore des rêves agités.

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Point de vue d’un petit garçon :

Petit Jules aime les histoires qui font peur, alors pour lui, la fée Carabosse, c’était de la rigolade avec son nez crochu (le voisin avait le même…), son balai en quoi, en vieilles branche et ses oiseaux de malheur qui lui tenaient compagnie, ha, ha, qui elle impressionne cette vieille grand-mère !!!! 

 

Point de vue d’une dame âgée :

Madame JOLY, qui n’avait plus que le nom, ne se serait pas aventurée dans une forêt le jour, encore moins la nuit.

Elle qui avait peur d’une araignée !!!

Du haut de ses quatre vingt quinze ans, elle était mince, sportive, karaté pour les séniors, si, si.

Alors rien à voir avec cette Carabosse bossue, seule la méchanceté était un point commun, elle avait été écrivaine, mais de nos jours sa vue lui faisait défaut.

 

Point de vue d’une petite fille :

Amélie, timide et complexée  du haut de ses dix ans, aimait se déguiser en fée clochette, son frère Gaspard la chagrinait en la comparant à la fée Carabosse.

Pourquoi, pour rien, pour rire, car sa sœur était atteinte d’un petit handicap, avec sa légère bosse due à une scoliose.  

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Rédigé par Dominique

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Publié le 13 Janvier 2022

M INTERDIT

 

Un papi en déséquilibre sur ses deux quilles veut prendre un escalator dans une grande surface. Affublé d'une canne qui se coince dans ses pieds, il s'affale de tout son long dans l'escalator qui progresse vers le palier à la vue de curieux indifférents au pauvre vieux qui ne peut se relever. Deux personnes essaient de le soulever , et tous trois arrivent sur le ventre à l'étage.

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Les deux personnes ayant déplacé le vieux monsieur pour dégager l'arrivé au palier, le soulèvent et s'inquiètent des conséquences de sa chute. Le monsieur les rassure et leur offre un verre, le coin brasserie étant à proximité. Il leur avoue qu'il a chuté volontairement pour voir la réaction des personnes présentes. Ils font un bilan ensemble de leur ressenti. Ils sont d'abord surpris puis en rigolent. L'homme et la jeune femme se présentent car ils ne se connaissent pas. Ils surprennent la conversation deux voyous qui commentent l’événement.

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_______Tu as vu cet imbécile avec deux pattes folles qui veut jouer au jeunot. En plus se faire seul un croc en jambes avec sa propre canne. A son âge, il est dans ses soixante dix carats, il devrait être dans une maison pour vieux.

_______En plus qu'est ce qu'il doit coûter à la sécurité sociale !

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Plus loin, une dame seule soliloque, elle plaint ce pauvre monsieur handicapé, pourtant dans la force de l'âge, Elle irait bien l'aborder mais il n'est pas seul, et, oserait-elle ? Plus jeune, c'était son métier, sans bagage, il fallait vivre. Tout en raisonnant ainsi, elle zyeutait ce monsieur qui s'en aperçut et lui sourit. Les deux jeunes gens qui avaient sympathisé partirent ensemble après avoir salué le non handicapé, Lui même se leva, se dirigea vers la dame, s’arrêta a sa hauteur,lui demanda la permission de s’asseoir à sa table, ce qu'elle accepta avec un grand sourire en lui disant : mais vous ne boitez plus ? Le ton était donné.

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moralité : grâce à un simulacre de chute deux couples se formèrent.

 

 

 

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Rédigé par Louis

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Publié le 11 Janvier 2022

 

Exercice 1 Lipogramme sans la lettre M

Personnage :Max Lamenace, homme,58 ans trapu, musclé un peu de ventre autoritaire narcissique, persuadé de tout savoir sur tout.

Objet : Un balai, avec des poils de lama souple, l change de couleur un manche en plastique dur malhabile


 

Le personnage, la soixantaine trapu avec un peu de ventre, travaille dans les bois bûcheron on l’appelle. Habitué à vivre seul, il est autoritaire un peu narcissique persuadé de tout savoir sur tout.

Pourtant un jour, il acheta un balai avec des poils souples. A sa vue, il changea de couleur, l’objet était en plastique de couleur rouge.

Lui qui disait tout savoir ne sut s’en servir.

La peur d’être ridicule, il le rangea dans le fond du placard à l’abri des regards pour éviter les questions des curieux en se disant, je saurai un jour je saurai


 

Exercice 2 Ecrire une vision faites par trois personnages différents.

Le Placard

  1. Le petit Pierre regardait la porte du placard en se disant qui a-t-il derrière ? Son imaginaire y voyait des monstres dont il entendait les soupirs et les grincements. La porte gardait ses secrets car seul le papa de Pierre en avait la clef et il lui en avait interdit l’accès.

         Pierre se jura, je saurai un jour je saurai qui se cache dans le placard

 

  1. Madeleine avait fini de faire la poussière, quand elle voulut prendre le balai rangé au fond du placard. Quand elle ouvrit la porte, tout s’effondra les sceaux, les serpillières, les boites de savon en poudre tout se répandit sur le parquet.

Elle se calma en jurant je saurai un jour je saurai ranger ce placard.


 

  1. Qui a-t-il derrière la porte de ce placard des mots d’amour, des poèmes que seul mon cœur peut comprendre ?

Marie ouvre délicatement la porte le cœur battant, hélas en guise de poésie elle découvrit un lot de vieux papiers jaunis, des journaux rangés là pèle mêle.

Pas de rimes pas de vers que des mots imprimés pas de réponse à ses maux Marie se jura

Je saurais un jour je saurai écrire des poèmes.

 

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Rédigé par Bernard

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Publié le 11 Janvier 2022

 

Violette Modeste, délicieuse septuagénaire élégante et fluette, se prépare pour son rendez-vous quotidien au salon de thé. Une habitude à laquelle elle ne déroge sous aucun prétexte. Elle apprécie la chaleur ouatée du lieu, la gentillesse du personnel. Sa table, devant la fenêtre lui est réservée, elle le sait. Ce qu’elle ne sait pas encore, c’est la surprise qui l’attend.

A peine entrée dans le salon, on l’applaudit, on la félicite : elle a gagné le voyage au Tibet en participant au jeu organisé par un producteur de thé.

Dix jours plus tard, la voilà partie, toute guillerette, vers un lieu de culte tibétain. A son arrivée, bien sûr, on l’accueille avec une tasse de thé.

C’est alors qu’elle a le choc de sa vie. Elle reste époustouflée devant la théière qui déverse le liquide bouillant. Une théière extraordinaire, vieille de plus de neuf cents ans, une splendeur dorée dont l’anse est entourée de fines bandelettes brodées pour éviter de se brûler. Un objet qui a traversé les siècles sans perdre de sa superbe…

Une théière qu’elle adorerait s’approprier… L’idée de la voler lui titille quelques neurones.. Cette beauté dans son salon, quel prestige, quel vertige !

Un coup de gong la fait sursauter. Violette regarde autour d’elle, effarée. Le reportage dédié au Tibet qu’elle regardait à la télé vient de finir sur ce coup de gong qui l’a réveillée.. Zut, elle s’était assoupie, ne sait plus quelle est la part du songe et celle de la réalité. La belle théière s’est envolée.

Cependant, Violette est persuadée qu’elle existe, elle avait l’air si réelle… Alors, elle se lève, enfile sa veste, prend son sac et file vers l’agence de voyage la plus proche. Elle va y aller pour de bon au Tibet et trouver cette théière de rêve qui n’attend que de la rencontrer.

 

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– Y a Mamie qui vient d’entrer au salon de thé. Ouah ! La teuf ! Toutes les vieilles en délire… Paraît qu’elle a gagné un voyage… ché pas où… En tout cas, elle a la banane, Mamie, c’est cool…

 

– Quelle débauche d’applaudissements pour cette vieille madame Modeste qui n’a de modeste que le nom. Regardez-la s’avancer toute fière sous les bravos.. Il ne lui en faut pas beaucoup à celle-là ! Un voyage au Tibet… pfff… C’est tellement surfait !

 

– Boudiou ! Vé que c’est notre Violette la vedette ! Toute l’équipe qui l’applaudit. Brave, va ! Vé comme elle est contente, toute belle et souriante ! Ça fait plaisir à voir… Tè, je m’en vais lui faire la baiette.

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Rédigé par Mado

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Publié le 11 Janvier 2022

 
Charles Louis était toujours aussi ébahi lorsqu'il observait son épouse se préparer pour sortir.
Ancien rentier de 71 ans, il appréciait davantage les soirées dans lesquelles il pouvait laisser paraître sa richesse.
Sa carrure svelte n'en était rien  face à l'assurance qu'il dégageait.
C'est cela qui avait séduit sa dulcinée lors de leur rencontre.
De son côté, elle avait ressorti sa plus belle minaudière d'une valeur sans pareil, puisque c'était Charles qui lui avait offert. Elle avait l'habitude de la ranger dans le tiroir de la coiffeuse. Ce soir là, elle savait qu'elle serait aux anges à l'instant où elle se referait une beauté en public, sa minaudière en or incrustée d'un rubis entre les doigts.
 
 
Après le repas fut venu le temps de la danse. Charles et sa femme aimaient beaucoup ce moment de la soirée. Ils pouvaient lâcher prise et rigoler comme des enfants.
Sans le vouloir, Charles bouscula un serveur.
"Super, en plus de devoir être leur esclave et ne plus avoir de vie, je dois me prendre leurs coups maintenant ! " marmonna-t-il.
Un couple de jeunes mariés se tenait assis et les observait.
" J'aimerais finir ma vie avec toi comme ce couple là bas. Regarde comme ils sont unis. Et cet homme, quelle élégance. J'irais bien échanger quelques mots avec lui! " exclama l'époux spontanément.

"Comment peux-tu  envier des personnes dont tu ne connais pas un semblant d'histoire ? " demanda sa compagne.

 
 

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Rédigé par Emma

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Publié le 10 Janvier 2022

 

Atelier :

Comment raconter l’odeur, volatile, impalpable… ?

En utilisant du vocabulaire associé à d'autres sens, le vocabulaire spécifique à l'odorat, des métaphores et comparaisons.

Lecture :

Extrait de Le parfum, de Patrick Suskind

Sujet :

Il y a quelques jours, c’était encore les fêtes, avec l’odeur du sapin, des bougies, des bonnes choses mijotant dans une marmite ou dorant au four, des mandarines, du chocolat... Racontez, faites revivre tous ces parfums.

 

LES TEXTES

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Rédigé par Atelier Ecriture

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Publié le 10 Janvier 2022

 

Joseph rangea soigneusement les deux ballots de foin récupérés dans l’étable voisine. Voilà, ce sera une couche idéale pour l’enfant à naître : l’herbe séchée à l’odeur entêtante, piquée çà et là de boutons fripés de coquelicots et de bleuets, lâchera ses effluves comme une brise caressante sur la peau douce de l’enfant.

Marie, émue par l’empressement de son époux occupé à préparer la future naissance, en oubliait presque les remugles qui parvenaient par moments de l’angle du mur derrière elle, là où était remisé un vieux bouc avant leur arrivée.

Le petit âne qui avait porté la future maman jusqu’à Bethléem était encore recouvert d’une transpiration poisseuse à l’odeur aigre. Joseph voulait l’essuyer avec une poignée de foin, avant de l’attacher près de la couche. Si le bébé s’avisait de montrer cette nuit le bout de son nez comme les premières contractions de Marie le laissaient prévoir, le souffle fétide mais tiède du baudet réchaufferait le nouveau-né.

Joseph sécha d’un geste délicat les gouttes de sueur au parfum de rose qu’il avait vu sourdre sur le front de son épouse : il ne savait pas qu’une femme en train de mettre au monde son enfant pouvait sentir aussi bon !

Il avait hâte que le petit être soit là. Il se voyait déjà mettre, avec tendresse, son nez dans le cou du bébé, et humer la subtile fragrance de pureté du nouveau-né…

Soudain, la porte de l’étable s’ouvrit avec fracas : le paysan d’à côté emmenait un gros bœuf malodorant pour réchauffer un peu plus l’atmosphère du jour qui déclinait. Marie pensait mettre au monde son enfant dehors, au pied d’un palmier à l’odeur sucré, dans les senteurs végétales et les cris des animaux nocturnes, allongée sur la cape à l’odeur âcre de Joseph. Mais ils avaient eu la chance de trouver sur leur chemin ce brave paysan qui leur avait proposé la cabane de son bouc : il mettrait provisoirement le vieux mâle avec sa vache.

Joseph était préoccupé : comment serait accueilli le nouveau né dans cet environnement cruel ? Si c’était un garçon, pourrait-il lui apprendre son métier de charpentier, lui qui aimait tant manier la scie et le rabot et respirer à plein nez la chaude odeur du bois séché ?Cet enfant arriverait-il facilement à trouver sa place dans ce monde si compliqué ? Quel serait son destin ?

 

Annie TIBERIO

 

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Rédigé par Annie

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Publié le 10 Janvier 2022

 

Des empreintes dans la neige feutrée

Où rouler silencieux..

Le garage en Auvergne,

effluve capiteuse et acerbe,

rire puéril et cris mâtures,

Chaleur diffuse, l'odeur de benzène,

Douce et sucrée, les yeux exaltés,

Une résine résiliente

La graisse qui diffuse

Les parfums trop charnels,

Des colères refoulées.

Fragrance de chlore récalcitrante,

Une piscine houleuse,

Une peur ado qui transpire..

Le voyage en Norvège,

Drakkar Noir sous les pins ombragés,

Ambre et vanille, cèdre et civette,

Brin de menthe, touche de verveine,

Traverser le périple, à l'abri des moustiques..

Nager dans un fjord à l'odeur de sainteté,

Respirer un vent ambré, brûlant, salé

En zone de turbulence..

Claquer des dents dans un McDo sucré,

Et puis poser les armes.

Voyage en verte Irlande,

Senteur tourbée d'humus mouillé,

Houblon amer d'une Guinness langoureuse,

Ou circuit pluvieux d'un whisky chevronné..

Senteur citron coco d'un rhum ambré

Parcours frémissement…

Suave Cocktail de réconciliation.

Au creux de ta nuque,

un musc naturel, sensuel et tenace,

Frisson farouche autant que résigné,

Illumine la pupille,

Madeleine sirupeuse

De la délicatesse des sens..

 

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Rédigé par Nadine

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Publié le 7 Janvier 2022

 

ODEURS

En ouvrant la porte de la chambre nous sentîmes une bonne odeur de café qui embaumait toute la maison. Mémé Georgette en refit dans une cafetière à l'italienne. Au moment ou l'eau en bouillant traversait la mouture de café jusqu'au sifflement qui indiquait la fin de l'opération, le gargouillement se réduisit à un murmure de plus en plus faible, et libéra un arôme qui enchanta toute la cuisine.( ça, c'était avant les capsules).

Je vais essayer de parler de ces senteurs inodores lorsque la vue ne suffit plus à s'exprimer.

Dans une nuit sans nuage la traînée blanche d' un long courrier passant devant la pleine lune sous-entendait une odeur de kérosène. Puis, avant l'aube de gros nuages noirs sentant déjà la poudre s'accumulèrent dans le ciel, prélude aux éclairs sulfureux, dégageant des remugles de guerre, de camps de concentration, de haine et de peur. A Nice le temps change rapidement. 24 heures après, le soleil se lève sur une mer étale, ses rayons soustraient de cette surfaces des fragrances invisibles à l’œil, mais qui se révèlent sucrées et mielleuses.

Le senti ou le ressenti en voyant de loin un champs de tournesols. Des effluves qui nous chatouillent le nez à l'entour de roseraies à Grasse. Plus loin sur le plateau de Valensole une brise de juillet au lever du jour nous dilate les narines bien avant d'apercevoir les alignements de plants de lavandes.

Louis

 

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Rédigé par Louis

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Publié le 5 Janvier 2022

 

Mamie, mamie, tu nous feras tes gâteaux au gingembre et à la cannelle,  tes petits macarons roses sentant bon les mûres dont on se goinfre en les cueillant dans les ronces, les marrons comme le Nutella que je mange en plongeant mon doigt dans le pot, ou les oranges au goût et à l’odeur des pelures de mandarine que l’on fait chauffer à NOËL , ou, ou, t’as compris hein, hein !  

La route sera longue de la Capitale, que nous quitterons sous la pluie, afin de passer les fêtes de NOËL avec mamie qui se trouve dans le sud de la France.

Papy ayant quitté ce monde pour retrouver son fils adoré parmi les anges.

Les ‘Odeurs’ sont chez nous une question familiale

Papa est un ‘Nez’, qui travaille dans le plus grand laboratoire d’Europe à Paris.

Moi, Lucie, j’y ai passé mon enfance, alors ne me contrariez pas, je les connais toutes.

Les fragrances, les effluves, ambrées, sucrées, ce sont ces dernières que je préfère.

Maman, trempe son petit doigt le matin dans une senteur fleurie et le met derrière l’oreille cela lui va bien, elle est belle avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus.

Ma sœur Béatrice, le garçon manqué de la famille ne se parfume pas, c’est une contestataire en tout, sauf, sauf certaines odeurs ont obtenues les faveurs de ses narines.

L’herbe mouillée après la pluie, lorsque les perles de rosée prennent le temps de rejoindre le sol en quittant chaque pétales des fleurs du jardin, bizarrement, l’odeur de la bougie à peine éteinte et d’autres substances dont la nature à la bonté de nous régaler.

Mamie Do, s’est fait livrer le sapin, ni trop haut, ni trop petit, juste ce qu’il faut pour que mon petit frère Pierre, puisse accrocher les boules de toutes les couleurs.

 Cette année une nouveauté, que ma grand-mère a dégoté, je ne sais où, certaines de ces boules                                                  

Aux odeurs de bonbon, il suffit d’appuyer dessus et tout le sapin est une confiserie.

 Les desserts les plus colorés aux senteurs de Père NOËL plongeant dans le pain d’épices, les dattes fourrées aux pâtes d’amande, verte, rappelant le goût et l’odeur des pistaches que papy aimait bien croquer, les roses me ramenant au labo de mon père, lorsqu’il testait de nouvelles molécules odorantes, ces effluves de fleurs si subtiles.

Enfin, tout et rien n’est comparable à ces sens que sont la vue, et l’odorat transmettant les plaisirs de la Vie.   

 

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Rédigé par Dominique

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