DE LA LOGGIA A LA FONTAINE

Publié le 9 Janvier 2024

Le texte de Marie-Thérèse
L’œil entre ici parce que carrelage blanc et noir court en perspective jusqu'à une série de portes fermées ou ouvertes sur d'autres pièces. Le regard est arrêté de toute façon par d’immenses palmiers en pot. À cette extase visuelle, on entend un gazouillis régulier comme un silence musical. En marche sur la loggia jusqu'à son centre où pleure une fontaine. S'asseoir là, on domine l'espace, un espace fermé à ciel ouvert ; quelques senteurs de jasmin, des oiseaux, de la couleur sillonnent l'espace en criant.
Le texte de Marie-Thérèse revu par Bernard
Heureusement que j'avais mis mes lunettes de soleil car mon œil entre ici parce que carrelage blanc et noir court en perspective jusqu'à une série de portes fermées ou ouvertes sur d'autres pièces. Il a fallu que je les enlève car le regard est arrêté de toute façon par d’immenses palmiers en pot. À cette extase visuelle, j'entends un gazouillis régulie,r musique douce ponctuée de silence musical. Elle me prit par la main et on marche sur la loggia jusqu'à son centre où pleure une fontaine. Nous nous sommes assis sur la margelle ; de là où nous sommes on domine l'espace. Cet espace fermé à ciel ouvert, comme un cloître où quelques senteurs de jasmin embaument l'atmosphère. Quelques oiseaux viennent perturber le silence en sillonnant le ciel en criant.

Rédigé par Marie-Thérèse et Bernard

Publié dans #Divers

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