Publié le 6 Juillet 2023

 

 
Dans la série "l'atelier se délocalise", en voici un organisé par Josiane, avec karaoké l'après-midi, restaurant à La Ratapignata le soir, et, entre les deux, écriture, bien sûr, ou plutôt lecture d'un texte qu'on aura fait chez soi, sur le thème "cuisine niçoise".
 
Deux sujets au choix :
 
– SUJET 1 :
Si vous avez déjà mangé au restaurant La Ratapignata, racontez-nous votre plat préféré, ses odeurs, ses couleurs, ses saveurs et le plaisir qu’il vous a procuré. Mettez-nous l’eau à la bouche.
 
– SUJET 2 :
Si vous n’avez pas encore mangé au restaurant La Ratapignata, vous vous doutez bien que, comme son nom l’indique, il propose de la cuisine niçoise et vous aimeriez bien y retrouver une recette de votre enfance. Et si vous la suggériez au patron ? Racontez-lui cette recette de façon à le convaincre de la mettre au menu.
Pour celles ou ceux qui n’ont pas grandi à Nice et ne connaissent pas de recette niçoise, vous pouvez convaincre le patron de se diversifier avec une recette venue d’ailleurs.
 
Voilà de quoi nous mettre en appétit avant d’y aller, au restaurant !
 
🔪🍴🥄
 
LES TEXTES
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L'Alouette sans tête
Arlette

https://un-atelier-d-ecriture-a-nice.over-blog.com/2023/07/l-alouette-sans-tete.html

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Cuisine niçoise
Dominique

https://un-atelier-d-ecriture-a-nice.over-blog.com/2023/07/cuisine-nicoise.html

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La Ratapignata
Josiane

https://un-atelier-d-ecriture-a-nice.over-blog.com/2023/07/la-ratapignata.html

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Vendredi c’est aïoli !
Mireille
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La lettre
Monique

https://un-atelier-d-ecriture-a-nice.over-blog.com/2023/07/la-lettre.html

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Vous connaissez La Ratapignata ?
Mado
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Rédigé par Atelier d'écriture

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Publié le 6 Juillet 2023

 

Cher Monsieur,

 

Votre carte est magnifique, de tout Nice et au-delà, on se bouscule pour avoir une place à votre table. Votre réputation n’est plus à faire.

Vous êtes connu pour vos plats typiques de la cuisine niçoise, mais vous vous êtes ouvert à d’autres cuisines et je vois qu’avec « Côté bistrot » vous proposez des carpaccios, des tartares, même des burgers, revisités à votre façon, bien sûr. Aussi, je ne résiste pas à l’envie de vous proposer une recette qui me tient particulièrement à cœur et ferait très bonne figure sur votre carte.

Ce n’est pas à vous -car vous le savez mieux que moi- que je vais l’expliquer : la cuisine c’est avant tout de l’amour, des émotions et souvent des souvenirs d’enfance. La tarte de mémé Yvonne, la ratatouille de maman, la truchia de tante Lucette, les panisses de papi Marius. Qui ne s’est inspiré de ces plats délicieux que l’on a vu faire et parfois appris à faire avec nos proches quand on était enfant, ce qui leur donne cette saveur unique ?

Aussi j’aimerais par-dessus tout vous suggérer cette recette qui est un des plus beaux souvenirs de la cuisine de ma mère et des moments merveilleux que j’ai passés à la préparer avec elle : les boulettes. De viande, bien sûr, de viande de bœuf même, mais on ne le disait jamais, les boulettes, c’était suffisant, tout le monde savait de quoi il s’agissait..

Maman faisait tremper à l’avance du pain rassis dans du lait, je ne sais combien de temps, mais il était bien ramolli. Elle sortait du réfrigérateur un bon paquet de viande de bœuf hachée et des œufs. Elle versait le tout dans un grand saladier. Nous ajoutions, sous sa direction, du sel, du poivre, du thym ou des herbes de Provence et il me semble aussi du paprika, peut-être une autre épice, je ne suis pas sûre. Et quelques gouttes de la mystérieuse sauce Worcersterchire au goût inimitable.

Alors commençait pour nous un moment de pur bonheur. « Vous vous êtes bien lavé les mains les enfants ? » était le signal attendu. Nous plongions avec délice nos mains dans ce mélange spongieux et le malaxions aussi longtemps qu’il fallait pour qu’il prenne une belle texture homogène.

Ensuite venait le temps de façonner les boulettes. Nous savions exactement quelle quantité il fallait mettre pour qu’elles aient toutes la même taille. Nous savions aussi leur donner la forme souhaitée, pas celle d’une sphère justement, mais plutôt une boule un peu aplatie, plus facile à faire cuire. Jamais il ne nous serait venu à l’idée d’en modifier la forme.

Alors, maman reprenait la main et les faisait frire dans une grande poêle noire, avec, je crois, pas mal d’huile.

A table, nous nous régalions du résultat de notre travail commun et faisions assez stupidement des concours de celui qui en mangerait le plus, avec l’accord tacite de nos parents, ravis qu’enfin un plat plaise à tout le monde, ce qui était rare.

Aujourd’hui, mon frère en fait quelquefois, il suit scrupuleusement la recette de base, l’aménage peut-être un peu, très peu. Moi, je ne cuisine plus beaucoup la viande, même s’il m’arrive d’en manger. Et je ne parviens jamais à suivre exactement une recette, même familiale, je change les ingrédients, en retire, en ajoute, assaisonne autrement. Mais quand je déguste celles de mon frère, c’est comme la madeleine de Proust, vous voyez ce que je veux dire ?

Aussi comprendrez-vous pourquoi j’aimerais tant retrouver ces merveilles à la carte d’un restaurant comme le vôtre. Je n’en imagine aucun autre capable de rendre l’hommage qu’il mérite à cette recette fabuleuse.

Veuillez m’excuser d’avoir été un peu longue, j’avais besoin de vous dire tout cela. J’espère vous avoir donné envie d’en savoir plus et me tiens à votre disposition pour venir en préparer chez vous afin que vous puissiez en apprécier toute la saveur. Je suis sûre que vous aurez envie de les ajouter à votre carte, et vous verrez, leur succès ne se démentira pas.

 

Bien cordialement et avec toute ma considération, gastronomiquement vôtre

 

Monique

 

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Rédigé par Monique

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Publié le 6 Juillet 2023

Ce soir la lune s’est penchée vers ma fenêtre et m’a raconté que Mars et Vénus …

Mais je rêve ! J’écarquille mes yeux tout en fixant la lune, elle remue ses lèvres, elle me parle.

Les vitres ouvertes, les bras posés sur la barrière, je tends l’oreille, intimidée.

Mon regard ne sourcille même pas, au passage d’un vol de canards sauvages qui s’ébattent dans le ciel.

La lune sourit de me voir aussi attentive.

- Je sais que ma présence t’intrigue, tu me regardes souvent. Fais-attention à ne pas tomber ! Tes parents ne seraient pas contents de te voir, à genoux, sur le bord de la fenêtre.

Elle a raison mais je sais que je ne tomberai pas, ma nouvelle amie est là pour veiller sur moi ! Elle me fait un clin d’œil, elle lit même dans mes pensées.

D’une voix douce, elle poursuit :

- Sais-tu que je tourne autour de la Terre ! J’apparais, selon les jours, en croissant de lune puis, un soir, je suis éclatante de beauté comme ce mardi du mois de juin. Les terriens m’attribuent alors des pouvoirs magiques.

Stupéfaite, je reste silencieuse.

- Regarde fillette, j’ai l’élégance d’un cygne qui se mire sur l’eau que je fais étinceler.

A cet instant précis, mystérieux et éblouissant, un aigle géant s’élance à travers ce ciel criblé d’astres pâles, scintillants, clignotants de cette nuit d’été.

J’ose enfin sourire à la lune, auréolée, qui me conte sa magie de cristal. Ma grande sœur m’a raconté qu’elle est la confidente des amoureux qui s’enlacent tendrement sous ses rayons.

Soudain, elle interrompt mes pensées pour me parler de Vénus.

- Vénus est un astre sacré, me confie-t-elle, elle porte le nom d’une déesse irrésistible. L’amour est associé à cette planète. Tu peux l’observer grâce à son éclat particulier. Elle s’entoure d’un cortège d’étoiles, allume dans le ciel, la sublime étincelle qui fait rêver.

Puis elle murmure :

- Écoute les notes harmonieuses de la lyre qui résonne dans ton cœur. Laisse-les vagabonder dans ton esprit en rythme d’or.

Et voilà que Mars vient jouer la trouble fête.

La lune me fait remarquer que sa couleur rougeâtre est causée par l’oxyde de fer. Je ne comprends pas ce mot mais j’irai le chercher sur le dictionnaire.

Je ne cesse de fixer Mars, ce mot m’interpelle c’est mon mois de naissance !

La lune poursuit :

- Attention à cette planète, elle a la réputation d’être une petite guerrière. Peut-être la contestataire du ciel !

Elle rajoute :

Vénus a un côté émotif, son aspect féminin canaliserait la force virile de Mars. On pourrait presque soupçonner qu’ils forment un couple.

Toutes ses informations mettent mon cerveau d’enfant en ébullition.

Mon imagination m’entraîne vers le personnage de ET ! Serait-il un martien ? Un Pierrot de la planète rouge? Un aventurier farceur ou tout simplement un poète romantique messager de Vénus pour nous initier à l’écriture !

Le silence est pesant.

Je suis allongée dans l’herbe du jardin, un magnifique lever de soleil se dessine à l’horizon.

Je réalise que j’ai passé la nuit dehors. Il faut que je retourne dans mon lit, avant le réveil des parents. Sans bruit, je me glisse, par la fenêtre de ma chambre, restée grande ouverte.

En déposant ma tête sur l’oreiller, je sens un objet très doux. Ma main découvre une plume, oui mais celle-ci a une particularité magique, elle va me permettre d’écrire. Éclairé par les premiers rayons de soleil, je découvre sur ma table de nuit, un carnet couleur indigo. L’illustration de la couverture ! Vous allez rire avec moi ; la lune, Vénus, Mars entourés d’étoiles.

Là, je ne rêve plus ! Je vais vous faire une confidence. Cette rencontre avec la lune a été, pour moi, une grande aventure. Je suis devenue écrivaine.

 

** JOSIANE **

 

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Rédigé par Josiane

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Publié le 6 Juillet 2023

 
Je suis une inconditionnelle de ce restaurant que j’ai connu au temps de Guillaume et Sylvain, les anciens propriétaires, et qui a reçu le Label de « Cuisine Nissarde ».
On a toujours du mal à changer nos habitudes, mais la reprise par Mathieu et Thibaut ne déçoit personne, la cuisine niçoise reste à l’honneur.
Le cadre est toujours aussi chaleureux, encore plus car la cuisine a été ouverte, nous laissant voir le chef et ses commis devant les fourneaux. De grands lampes tiennent nos plats au chaud, en attendant le ballet des serveuses qui s’affairent autour des tables.
Parmi elles nous retrouvons, avec joie, Caroline et Zoé, l’ancienne équipe toujours aussi sympathique.
Dès notre arrivée, nous sommes accueillis par le sourire de Mathieu, qui gère avec gentillesse la bonne marche du restaurant. L’ambiance est décontractée, amicale, familiale, on se sent bien et on régale nos papilles.
Vous ne connaissez pas ! Prenez votre téléphone et réservez sans plus attendre.
En cette fin d’année d’atelier d’écriture des seniors, le sujet proposé pour notre dernière rencontre s’est avéré être sur la cuisine niçoise. La soirée ne pouvait que se terminer à la RATAPIGNATA.
Avec Mado, notre animatrice préférée, Niçoise bien entendu, nous avons pensé vous faire un petit livre, avec tous nos écrits.
Bernard, écrivain et illustrateur de notre atelier, a eu la gentillesse de vous offrir son recueil de poèmes sur la cuisine niçoise. Il est désormais, entre vos mains, en attendant les textes des autres participants.
Je ne vais pas flatter tous vos délicieux mets que j’apprécie à chacune de mes venues, mais pour appliquer la consigne, je vais vous proposer la recette de la Tourte de Blettes sucrée, le dessert de mon enfance.
Une pincée d’Italie reste dans mes racines du côté maternel, mais par mon père, né dans la vieille ville, je suis niçoise et fière de l’être. Cette recette est transmise depuis des générations, bien que je soupçonne ma grand-mère paternelle de l’avoir arrangée à sa sauce.
Sa devise : cuisiner avec amour.
 
TOURTE de BLETTES de Marietta
(Tourta de blea)
 
Pour la pâte 
* 500 g de farine
* 100 g de sucre en poudre
* 1 œuf entier
* 1/2 verre d’huile d’olive
* un peu d’eau tiède dans laquelle vous faites fondre
un carré de levure de boulanger.
* une pincée de sel
 
Pour la garniture
* 800 g de vert de blettes
* 100 g de pignons grillés
* 100 g raisins secs trempés dans le rhum la veille
* 100 g de sucre en poudre blond
* 2 jaunes d’œufs
* 3 c à soupe de parmesan râpé
* Branda (eau de vie) facultatif
* 2 à 3 pommes Reinettes (si possible)
* 1 pincée de poivre
Deux manières pour les blettes. Soit faire cuire le vert des blettes 5 mn dans l’eau salée, soit les couper crues très finement avec un hachoir à main.
Trempez les raisins secs la veille, rhum et un peu d’eau dans un bol.
Grillez ou non les pignons selon votre goût.
 
Préparez la pâte la veille :
Farine fluide, levure, huile d’olive, les œufs mélangés au sucre, la pincée de sel, malaxez du bout des doigts.
Séparez la pâte obtenue en deux boules, entourez-les d’un film et d’un torchon sec.
Mettez-les dans un endroit frais.
 
Les blettes doivent être hachées finement (pas broyées). Incorporez les pignons, les raisins tamisés sans le jus ou très peu, les jaunes d’œufs, la pincée de poivre, la branda et le sucre. Malaxez.
 
En ce qui concerne les pommes, ma grand-mère en incorporait quelques lamelles dans la garniture. Avec le reste des pommes, elle tapissait le dessus de la garniture, avant la poser la deuxième pâte.
 
Dans un moule carré beurré, étalez finement 1 boule de pâte, piquez à la fourchette, puis versez la préparation. Étalez la seconde boule, en laissant un espace sur le côté. Pincez le bord des deux pâtes avec les doigts humides. Piquez le dessus avec une fourchette.
Enfournez la tourte bas du four 40 à 50 mn à à 180°.
15 mn avant la fin de cuisson, badigeonnez le dessus à l’aide d’un pinceau trempé dans un jaune d’œuf pour donner un éclat doré et remonter le plat à mi-hauteur.
A la sortie, saupoudrez de sucre glace.
 
BON APPÉTIT !
 
 
 
Josiane, Madame Livre, le 24 juin 2023
 

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Publié le 6 Juillet 2023

 
Un plat provençal que l’on déguste aussi à Nice ! Ne pas confondre avec les paupiettes.
 
A la RATAPIGNATA, restaurant niçois de mon quartier, carte à la main, de nombreux plats défilent devant mes yeux. Pourquoi ne pas faire figurer, un de ces prochains jours, les Alouettes sans tête, que l’on peut accompagner de gnocchis, de riz ou de pâtes ?
 
Je me souviens, lorsque j’étais petite, de la recette de ma mère qui la détenait de ma grand-mère ! Cette recette était faite avec amour, patience et douceur.
Lorsque le plat mijote doucement, l’odorat est en éveil, le parfum se répand dans la maison.
Des effluves de thym, romarin, laurier, on se croirait dans un champ de Provence.
Lorsqu’on partait en vacances en 2 CV, on longeait la Nationale Sept, et là, les senteurs de toutes sortes nous chatouillaient les narines.
La sauce chante sous le couvercle, le goût umami sur la langue, permet d’ajuster les ingrédients qui seront un cadeau pour notre palais.
Enfin l’instant est là, où, devant notre plat, on hume et on déguste ce délice qui éveille nos papilles.
Nul ne résiste à ce plaisir, je vous le dis, ça réconforte, ça fait disparaître tous les tracas du monde pour un instant.
Croyez-moi Thibaut, le cuisinier, ajoutez ce plat à votre carte, vous aurez la queue devant votre porte.
Si vous désirez la recette, je peux vous communiquer la recette magique de Fifine. Vous ne regretterez pas.
Bon en attendant, ce soir, je vais me régaler avec votre risotto aux gambas.
 
A bientôt
 
Arlette le 24 JUIN 2023
 
 

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Rédigé par Arlette

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Publié le 6 Juillet 2023

 
Acrostiche de La Cuisine Niçoise
 
La voilà
A Nice
 
Consommé, non, dégusté,
Un repas se prépare
Ils arrivent
Sans gêne
Ils sont là, sous nos yeux
Nice est dans mon assiette
Entre eux et moi
 
Nous les Niçois
Imaginons-nous ailleurs !
C’est impossible
Oui, je suis repue
Il est rosé ou blanc ?
Suffisamment convaincue
Encore, encore, par gourmandise
 
 
 
LES PETITS FARCIS
Que dire de la cuisine niçoise ! C’est une découverte de goûts, de couleurs.
 
La SOCCA : Une énorme crêpe à la farine de pois chiche, eau, huile d’olive que l’on peut déguster avec les doigts, tout en découvrant notre belle ville de Nice.
 
Le PAN BAGNAT de chez Tintin, enveloppé dans un papier, que l’on mange, assise sur un banc de la Villa Thiole, quartier Libération.
 
La SALADE NIÇOISE, la vraie, dans laquelle on retrouve : les tomates, petits poivrons verts, fèves, lamelles d’artichauts du pays, cébettes, œufs durs, filets d’anchois, thon à l’huile et les petites olives niçoises. Le tout assaisonné d’huile d’olive, sel et poivre ; il ne me reste qu’à vous souhaiter un bon appétit.
 
Si vous allez à La RATAPIGNATA, restaurant du quartier Nice Nord, vous aurez un choix difficile !
Le vendredi, AÏOLI, une tranche de cabillaud, accompagnée de légumes, d’œuf dur, que vous napperez d’une sauce mayonnaise à l’ail et huile d’olive.
Ou, si vous préférez un plat plus consistant, les Raviolis à la Daube, c’est un régal !
Vous ne connaissez pas, il est temps de réserver pour déguster les nombreux mets délicieux préparés dans la pure tradition nissarde.
 
 
Dominique le 24 JUIN 2023
 
 

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Rédigé par Dominique

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