Publié le 28 Avril 2022

LA BOITE RONDE

 ATELIER

Les figures d'analogie

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LECTURE

Le Vase brisé – Sully Prudhomme

Le vase où meurt cette verveine
D’un coup d’éventail fut fêlé ;
Le coup dut effleurer à peine :
Aucun bruit ne l’a révélé.

Mais la légère meurtrissure,
Mordant le cristal chaque jour,
D’une marche invisible et sûre
En a fait lentement le tour.

Son eau fraîche a fui goutte à goutte,
Le suc des fleurs s’est épuisé ;
Personne encore ne s’en doute ;
N’y touchez pas, il est brisé.

Souvent aussi la main qu’on aime,
Effleurant le cœur, le meurtrit ;
Puis le cœur se fend de lui-même,
La fleur de son amour périt ;

Toujours intact aux yeux du monde,
Il sent croître et pleurer tout bas
Sa blessure fine et profonde ;
Il est brisé, n’y touchez pas.

 Sully Prudhomme, Stances et poèmes

 

ATELIER EN DEUX TEMPS D’ÉCRITURE

 

1) L'histoire de la boîte

Une petite boite. D’où vient-elle ? Décrivez-la, racontez son histoire en prose ou en vers et, éventuellement, comme pour Le Vase brisé, transformez-la en métaphore d’un sentiment ou d’une idée.

 

2) Le message de la boîte

Poursuivez l’histoire selon deux possibilités, au choix :

     – Soit vous décidez d’offrir cette boite à un être de votre choix, humain, animal ou végétal, réel ou imaginaire. Quel message y enfermeriez-vous ?

     – Soit vous trouvez dans cette boite une lettre ou un message écrit à l’encre sympathique. Faites-en la transcription.

LA BOITE RONDE

LES TEXTES

Un deuxième sujet improvisé sur des photos, dont voici un des textes

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Rédigé par Atelier Ecriture

Publié dans #Les objets

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Publié le 28 Avril 2022

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une boite, tu vois un jour

Je serais dedans savoure

Tu pourras m’emmener dans ton sac

Au milieu de ton bric-à-brac

Entre tes clés et la photo de ta mère

Je ne serais que poussière

Tu vois, je ne pèse pas très lourd

A tes reproches, je resterais sourd

Promis je serais muet

Dans ma boite en noir laquée

Et si vraiment un jour je te dérange

Pas grave je deviendrais un ange

Il te suffira d’ouvrir la boite

D’une main adroite

Pour qu’un courant d’air Léger

M’emporte au vent mauvais

Alors je disparaîtrais de ta vie

Sans oublier de te dire merci

Il te restera cette boite aux fleurs

Souvenir de notre bonheur

 

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Rédigé par Bernard

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Publié le 28 Avril 2022

Raconter une histoire à partir de la photo.

Le jour vient de se lever. Max s’habille silencieusement, prend le sac qu’il a préparé, et quitte la cabane à pas de loup. Il ne veut pas réveiller Laure, encore endormie. Il a décidé ce matin d’aller faire du stop là-haut, sur le bord de la route, pour que quelqu’un le ramène à la civilisation. Depuis quinze jours, il est avec sa compagne dans une cabane de berger, ils doivent remplacer pendant un mois l’oncle qui garde tout l’été un troupeau de brebis. Oui, mais voilà, il en a assez de traire des brebis matin et soir, de préparer des petits fromages aromatisés du thym de la garrigue. Bien sûr, il sait le faire, il vient tous les étés aider son oncle. Mais cette année il en a assez. Il n’en peut plus d’entendre toute la journée des bêlements, de ne pas avoir un minimum de confort, pas de téléphone, pas de télé, pas de matchs de foot…Il n’en peut plus. Son oncle étant hospitalisé pour une intervention chirurgicale, il ne reviendra pas à l’estive avant le premier septembre. Encore quinze jours à tirer…Il craque…

Laure, qui l’a entendu partir, essaie de le rattraper pour le convaincre de redescendre. Ils ne peuvent pas faire ce coup-là au Tonton ! Et les brebis ? Et les fromages ?

Du haut de la montagne, ils entendent les bêtes abandonnées bêler désespérément. Elles ont compris. Le loup fera peut-être un festin ce soir… Il faut bien que quelqu’un y trouve son compte.

Bon, nous aurons un loup heureux ce soir, ça n’arrive pas souvent qu’il puisse croquer plusieurs agneaux. Tant mieux pour lui !

Annie TIBERIO

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Rédigé par Annie

Publié dans #Ecrire sur des photos

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Publié le 28 Avril 2022

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette boite quelle idée

Un hangar, un atelier ?

Une chambre, un studio

Débarras, méli-mélo.

 

Cette boite, reliquaire

Pour bijoux tant qu'à faire,

Réservoir de crottes à rats

Débarras, mélo-méla.

 

Ces deux boites font la paire,

L'une et l'autre similaire,

Couvercle bombé comme des joues

Méli, mélo, méla, fourre-tout.

 

Ces deux boites qu'en faire ?

Bibelots sur un buffet

Deux pièges à poussière

Souvenir de nos aînés.

 

Ces boites sorties du grenier

Pleines de toiles d’araignées

Tapie tout au fond naïve

Une quenotte, une incisive.

 

Louis

 

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Rédigé par Louis

Publié dans #Les objets

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Publié le 28 Avril 2022

La pluie tombait drue. Ses gouttes frappaient les vitres de la fenêtre de cette chambre que j'occupais il y a quelques années. Je retrouvais après la mort de mes parents, le désir de découvrir quelques souvenirs éparpillés au fond des tiroirs.

Dans la semi obscurité d'une maison qui dort, seule la lune, dispensait une petite lueur. Sur l’étagère où trônaient les témoins de mes exploits sportifs passés, une boite ronde se rappela à mon souvenir. Aussi noire, que ma tignasse de corbeau quant j'avais vingt ans, elle était en bois laqué et son couvercle était orné de trois fleurs. L'artiste les avait représentées droites comme des I, fières et altières comme des bois de justice. Elles semblaient immortelles. C'est vrai que cette boite venait de loin. Mon arrière-grand-père l'avait tenue dans ses mains avant de repartir sur le front après une permission trop courte pour lui faire oublier l'enfer qu'il allait retrouver.

Cette boite avait jouée un rôle dans la vie de mon aïeul. Avant de repartir, il nous avait laissé un témoignage ou plutôt une confession. J'ouvrais la boite et constatais que sa lettre était toujours là. Papier craquant et jauni, mais le texte était lisible. L'encre, violette, avait roussi avec le temps, par contre les lettres écrites à la plume avec leurs arrondis et leurs déliés étaient toujours aussi élégantes. Faites bien attention, disait-il, tout n'est que mensonge. Je n'ai pas le droit de le dire, car je serais accusé de défaitisme et je risquerais le peloton, c'est pour cela que je l'écris.

La soupe n'est pas bonne. Encore faut' il qu'elle arrive jusqu’à nous. Les tranchées ne sont pas un lieu de promenade. Tout n'est que boue et saleté. Nous pataugeons dans le froid et l'humidité. Chaque seconde est une menace. Le danger et la peur de mourir tenaillent nos entrailles. On parle des décorés mais on oublie les fusillés qui ont cédé à leur terreur. Quand nous subissons les assauts ennemis nous manquons souvent de munitions et nous prions pour que l'ennemi ne s'en rende pas compte...

Et ainsi de suite, la litanie était encore longue et les griefs du poilu étaient innombrables. L'ancêtre est revenu, mais " les pieds devants " avec la médaille de ceux qui sont partis avant la fin des hostilités sans qu'on puisse leur en faire reproche. La boite n'a rempli son rôle qu’après la guerre. Ma grand-mère l'avait retrouvée au fond d'une armoire, derrière une pile de vieux vêtements qui ne servaient plus à rien . Elle voulait s'en servir comme bonbonnière. Mais la lettre de son pêne a fait qu'elle a rendu à la boite sa vocation première. Celle de tabernacle sacré au même titre qu'une urne contenant les cendres d'un être cher. A la fin de sa vie, elle me l'avait confiée en me faisant promettre de la conserver au sein de ma famille à venir. Mais la famille n'est pas venue et moi j'avais oublié mon obligation.

La boite est un peu ternie, mais un peu d'eau tiède et un doux chiffon de coton lui rendront sa respectabilité. Cette nuit je dormirai ici en sa compagnie et demain nous partirons, elle et moi, vivre une nouvelle vie sous d'autres cieux.

 

 

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Rédigé par Fernand

Publié dans #Les objets

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Publié le 27 Avril 2022

 

Une petite boite noire, soigneusement laquée. Toute lisse, elle ressemble à un gros galet travaillé et retravaillé par la mer. Sur le couvercle, un dessin se détache du fond noir. Une touffe de fleurs colorées, entourées de feuilles vertes représentent le printemps et le renouveau.

C’était un cadeau de ma grande mère pour mon 10ème anniversaire. Sur le coup, j’étais déçue, surtout lorsque, en l’ouvrant, je n’ai rien trouvé à l’intérieur. Depuis, j’ai reçu des nombreux cadeaux, certains avaient de la valeur, d’autres pas. Certains me plaisaient, d’autres pas. Rares sont ceux dont je me souviens, et encore plus rares ceux que j’ai encore. Mais cette petite boite ronde, elle m’a accompagnée toute ma vie, dans tous mes déménagements, comme une amie fidèle, comme une confidente à laquelle je pouvais confier mes secrets. Et elle en a contenu, des secrets, ou plutôt des souvenirs, des objets auxquels je tenais beaucoup, à un moment ou à un autre de ma vie. Je me souviens de fleurs pressées, d’un petit bijou en forme de cœur, fait de ses propres mains par mon premier amoureux, ma bague de fiançailles, une fleur séchée encore, de mon bouquet de mariée. La première dent de lait de ma grande fille, ainsi que celles de mes deux autres enfants. Ils étaient jalouses les uns des autres, il fallait bien qu’il y ait trois dents de lait, que mes enfants regardaient régulièrement, pendant un temps. Puis, il y avait le menu de mariage de ma grande fille, plié en huit pour pouvoir tenir dans la boite.

Bientôt, Aline, la plus grande de mes petits-enfants va fêter son 10ème anniversaire. J’ai envie de lui offrir cette boite. J’ai bien remarqué qu’elle le reluquait en secret sur l’étagère du salon, qu’elle était intriguée. Je ne sais pas si elle l’a jamais ouverte. En tout cas, elle ne m’en a jamais parlé. En a-t-elle parlé avec ses parents ? J’en doute. Les jeunes d’aujourd’hui s’efforcent à donner l’impression de ne s’intéresser qu’à leurs smartphones. Je vais la lui offrir, avant qu’elle ne se perde lorsque mon appartement sera débarrassé de toutes ses vieilleries, après mon décès. Le médecin me donne encore quelques mois, je n’en ai parlé à personne. Ma fille me trouve bien fatiguée, je lui dis que c’est l’âge. Elle me répond que je me laisse aller. Si elle savait ! En attendant, je veux encore profiter de ma vie une dernière fois, plutôt que de voir autour de moi des gueules d’enterrement. Après ma mort, ils auront tout le temps pour pleurer.

Je vais mettre un message dans la boite, par exemple : « cette boite peut te paraître banale mais elle m’a accompagnée pendant plus de 50 ans. Elle m’a consolée dans les moments tristes, elle m’a encouragée lorsque j’avais perdu espoir. Elle a partagé mes joies et mes peines. J’espère que pour toi aussi, elle sera une compagne fidèle. »

 

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Rédigé par Iliola

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Publié le 27 Avril 2022

 

      

      Elle est ronde comme la terre

       Fleurie comme le printemps

       Secrète comme le ventre des secrets

       S’ouvrant selon le bon vouloir de chacun.

 

 

 

 

La boîte mystérieuse, un jour se sentait seule, délaissée, jetée d’un geste ignoble dans une poubelle.

Au secours, criait le bois de sa chair, à moi, j’étouffe, je veux sortir, je suis belle, je viens de loin, mon pays, mon linceul, je roule, je craque, je veux encore plaire !!!

La mer est un miroir, la plage un tapis doré, le souffle du vent, un zéphyr apprécié. Allons voir si la nature est toujours belle !!

Une vieille femme accroupie, tendait sa main fidèle, de petites choses amusantes se tenaient chaud auprès de cette marchande.

Une dévergondée là, mi ouverte, un clin d’œil au passé, ses fleurs le printemps bientôt.

Emma la regardait, son cœur palpitait, sa main s’avançait, pourquoi, une étrange sensation la retenait, puis l’objet fut son amie.

Le soir, l’astre de la nuit lui répétait 'un message enfoui, tes rêves endormis' l’instinct de la découverte.

Il était une fois, une fée maléfique, le sort d’un prince l’ignorant en fut son mépris.

La vie, la chaleur, l’amour des mains pleines de vie.                  

Ce n’est pas un rêve, devant Emma il revit, la faisant belle pour l’éternité.

 

                                            C’était une petite boite ronde avec un cœur fourni.

                                            C’était une aventure d’aujourd’hui

                                            Un bel objet rond comme la terre,

                                            Fleurie somme le printemps

                                            Secrète comme le ventre des secrets

                                            S’ouvrant selon le bon vouloir de chacun !!!!!!

 

 

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Rédigé par Dominique

Publié dans #Les objets

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Publié le 27 Avril 2022

Une boîte noire toute ronde, ronde comme la Terre, noire comme la nuit. Pourquoi cette noirceur ? Je n’aime pas le noir, le sombre, je préfère la lumière, l’éclat du jour, la gaîté. Si la couleur noire est uniforme, sans ornements, l’objet me donne l’impression de contenir ma tristesse, mes regrets, mon mal-être. Je préfère ce qui éclate de couleurs vives, qui symbolise la joie, la gaîté, la musique tonitruante.  Ou bien une décoration faite de couleurs douces qui appellent la tendresse, le bien-être, la vie dans un cocon, comme pour un enfant doucement bercé dans les bras de sa maman. Les fleurs jaunes et rouges peintes sur la boîte semblent montrer un rejet de l’obscurité, l’introduction de la beauté de la nature dans un monde si souvent sombre. Pourquoi vivre dans la noirceur, la dureté, la méchanceté ?

N’est-ce pas mieux de voir les couleurs de la vie, le positif, les bons sentiments, l’espérance, la capacité de s’élever tous ensemble, main dans la main, comme ces petites fleurs colorées qui tendent leurs pétales délicats vers le soleil, qui se frôlent de leurs feuilles comme on peut se donner la main, pour s’aider à avancer ensemble vers une vie meilleure et vers la paix ?

Si je pouvais, j’offrirais cette boîte à un enfant qui vient de loin, un gamin de douze ou treize ans qui a eu le courage de quitter son pays en guerre, sa famille décimée, son village détruit, sa vie sans espoir, et lui dire ceci : 

« Mon garçon, chez toi, règnent la noirceur et le désespoir, comme à l’intérieur de cette petite boîte. Si tu arrives à soulever le couvercle de ton existence, peut-être à franchir le bord de cette boîte comme tu as franchi tout seul des frontières, tu verras qu’ailleurs, la vie peut être colorée, que des gens te tendront la main comme ces fleurs tendent leurs feuilles l’une vers l’autre, ces feuilles vertes couleur d’espérance. Ne te pense pas perdu à jamais, tu vas reprendre pied sur un sol ami, toi, petit Poucet au milieu d’inconnus. Et, si tu es courageux et que tu sais ouvrir ton cœur aux autres, à ceux qui croisent ton chemin, tu verras ta vie se colorer et la douceur et l’amour auxquels tu as droit, toi aussi, viendront bientôt à ta rencontre. Espère, sois honnête et pur, et, comme ces petites fleurs, ton cœur te guidera un jour vers le soleil et le ciel bleu, et tu grandiras dans un pays en paix où tu pourras construire ta vie d’homme… »

 

Annie TIBERIO

 

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Rédigé par Annie

Publié dans #Les objets

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Publié le 26 Avril 2022

 

 

C’est une petite boite ronde

Noire comme la nuit

C’est une boule de nuit

De nuit cerclée d’or.

 

 

 

 

Sur son couvercle poussent des fleurs

Des fleurs de la nuit

Des fleurs de la Lune

C’est une petite boite à mystère

Une petite boite à secret

Qui protège bien serré

Son trésor tout au fond d’elle.

Comme toi.

Elle vient de loin l’hermétique

Elle a traversé les pays

Comme toi.

Elle t’a accompagnée tout au long du voyage.

Gardienne de l’histoire enfermée dans ton cœur

Errance à la nuit brune pour franchir les frontières

Fuir les armes et la mort.

 

Mais un jour, tu as perdu la boite ronde et je l’ai trouvée sous le banc où tu as sans doute passé la nuit. Il ne restait de toi qu’un vieux pull déchiré et cette boite élégante.

Je l’ai ouverte. A l’intérieur, une page blanche soigneusement pliée. En y regardant de plus près, j’y ai vu des traces d’écriture. J’ai pensé aussitôt à l’encre sympathique, aux messages secrets écrits au jus de citron que, enfants, nous faisions circuler dans la cour de l’école.

La chaleur d’une flamme de bougie m’a tout raconté. Voici ce que j’ai lu :

Je m’appelle Eshani, j’ai 16 ans. J’ai fui l’Afghanistan avec ma famille, puis l’Iran, jusqu’en Grèce. Aujourd’hui, je suis partie seule, en cachette, sans rien dire, laissant mon père, ma mère, mes frères et ma sœur à Athènes.Je veux aller en Suisse pour ensuite y faire venir ma famille. Là-bas, on sera en sécurité. Cette boite appartient à ma mère. Elle y gardait ses bijoux. Elle me protège, je le sais. Si vous la trouvez, c’est que

 

La lettre s’arrête brusquement. Eshani a disparu en abandonnant la boite.

Mais j’avais assez d’indications. Je me suis renseignée et je sais aujourd’hui qu’Eshani a réussi. Elle est à Zurich et sa famille a pu la rejoindre.

La petite boite noire ne va pas tarder à en faire autant..

 

 

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Rédigé par Mado

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Publié le 9 Avril 2022

 

Comme Raymond Queneau

Ces exercices de style consistent à raconter la même histoire de manière différente. Raymond Queneau l’a fait quatre-vingt-dix-neuf fois dans son livre ‘‘Exercices de style’"

 

LECTURE :

Quelques passages de Exercices de style

 

SUJET :

Inventez une petite histoire, courte mais avec quelques détails significatifs.

Dans l’exemple de Raymond Queneau, le narrateur rencontre, dans un autobus, un jeune homme, au long cou, coiffé d’un chapeau orné d’une tresse au lieu de ruban. Le jeune homme échange quelques mots assez vifs avec un autre voyageur, puis va s’asseoir à une place devenue libre. Un peu plus tard, le narrateur rencontre le même personnage en grande conversation avec un ami qui lui conseille de faire remonter le bouton supérieur de son pardessus.

Situation : dans un bus

Personnages : un jeune homme, au long cou avec un chapeau orné d’une tresse et un pardessus dont le bouton supérieur serait mal placé et deux autres personnages secondaires.

Évènements : dispute avec un voyageur, puis rencontre avec un ami au sujet du bouton de son pardessus

 

Imitez Raymond Queneau : trouvez une situation, un lieu, créez votre personnage avec signes distinctifs, imaginez un ou deux événements.

Écrivez cette première histoire dans votre style personnel, puis réécrivez-la de plusieurs façons.

Quelques extraits de ‘Exercices de style"

LES TEXTES

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Rédigé par Atelier Ecriture

Publié dans #Divers

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