Publié le 21 Janvier 2020

Phrase initiale :

Il en avait quatre ou cinq aux trousses, et d'une rue adjacente lui provenaient déjà des cris de rage.

Poursuivre l'histoire et toutes les 3 minutes, intégrer :

J'ai tout ce que je veux

Pierre secoua la tête

À 9 heures

Scrogneugneu

 

MON TEXTE

Il en avait quatre ou cinq aux trousses, et d'une rue adjacente lui provenaient déjà des cris de rage. Se pourrait-il qu’il soit cerné, depuis la dernière manifestation, la police s’était organisée pour empêcher tout débordement. Il n’avait qu’une solution rentrer dans cet immeuble dont la porte était ouverte. Il grimpa quatre à quatre les escaliers pour fuir et se reposer. Il avait un grand besoin de boire, cette course dans les rues l’avait épuisé. Au premier il tapa à une porte, il se préparait à expliquer sa présence quand une toute petite voix lui dit à travers la porte :

« J’ai tout ce que veux »

Pierre secoua la tête, assis dans les escaliers, il reprenait doucement son souffle qu’allait-il faire. Il regarda sa montre, à 9 heures, il avait rendez vous avec Mado pour finaliser le livre de l’atelier, la montre affichait huit heures trente. Pas de panique je vais l’appeler pour m’excuser, elle comprendra. Il sortit son téléphone de sa poche pour composer le numéro et là, Paul poussa un cri «  Scrogneugneu » de pipe en bois sa batterie l’avait lâché, le voilà condamné à attendre au rythme de la minuterie de cet escalier que le temps passe, pour qu’il puisse rentrer.


 


 

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Rédigé par Bernard

Publié dans #Divers

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Publié le 21 Janvier 2020

SCÈNE DE FILM

Scène de film

 

 

Un homme jeune est encadré par deux policiers moustachus. Au vu des uniformes et du charreton garé sur le trottoir, la scène semble sortir directement du passé. Pourtant un homme, habillé de façon moderne un polo ras du cou et un pardessus fait son apparition dans le cadre de la photo. Il est par son allure et ses vêtements complètement anachronique avec les autres personnages et le reste du décor.

 

Négatif :

 

Que se passe-t-il ? Un homme est emmené de force par deux policiers en uniforme.

Qu’a-t-il fait ?

Est-ce un voleur ? Un assassin ?

On ne le saura jamais !

Car voilà qu’arrive dans le champ de l’action un quidam en pardessus et à cause de lui une journée de tournage à l’eau. L’énigme reste entière.

 

Positif :

 

- Merci, semble dire l’acteur aux deux policiers.

- Je n’en peux plus de ce tournage.

- Enfin on va faire une pause.

- Invitez l’intrus pour prendre un verre, il le mérite malgré tout.

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Rédigé par Bernard

Publié dans #Cinéma

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Publié le 19 Janvier 2020

De loubard à Limoges

Il a bien évolué,

Dans les ruelles sombres

Il a souvent castagné

Quelques tronches bien moches

Qu'il a vite rectifié.

 

Le ciné l'a contacté

Après une garde à vue,

Il s'est de suite éclaté

Jouer, bien vite il a su.

D'embarquer toutes poupées

Il a fait un compte-rendu.

 

Avec Patrick Dewaere

Et la coquine Miou-Miou,

Les trois ont fait la paire

Et plus de quatre cent coups.

Avec son savoir-faire

Il est toujours dans le coût !

 

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Rédigé par Louis

Publié dans #Cinéma

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Publié le 17 Janvier 2020

***
LE TOURNAGE

 

LA PELLICULE

 

Envol de pellicule…

Telle une libellule

Couvre la Baie des Anges

 

LA VICTORINE

 

Victorine, ciel bleu

Menuisiers et patineurs

Cinéma d'antan

 

 

LE CAMERAMAN

 

Collecteur d’images

Il est l’œil du cinéma

Le cameraman

 

 

PRISES DE VUES

 

Caméras, gros plans

Preneurs de son et acteurs

Font le cinéma

***
QUELQUES STARS D'AILLEURS...

 

CHARLOT

 

Tous devenus fous

La planète part à vau-l'eau

Pleurer, rire, Charlot

 

 

CHARLOT... THE KID

 

Clown penseur ou clown triste

Tu as su prendre des risques

Silhouette claudicante, attitude bienveillante

...

Assis sur les marches à l’abri sous une arche

Un petit chien près de lui Charlot nous attendrit

Attend-t-il l’aumône des passants, des personnes ?

 

LAUREL ET HARDY

 

Rire des maladroits, quelle libération

De nos propres failles, nos insuffisances.

Le cinéma, miroir de l’existence.

...

Un éclat de rire

Les deux comiques entrent en scène –

Chapeaux rapiécés

***
... ET D'ICI..

 

 

RAIMU

 

C’est comme ça qu’on dit

Que l’on est dans le pétrin

Sans faire du pain

 

 

FERNANDEL

 

Sourire chevalin, Provence des années trente,

Ou curé italien, ou Ignace qui chante,

Fernandel, c’est un petit nom charmant..

 

 

LINO VENTURA

 

Un cœur gros comme ça

L’aventure c’est l’aventure

Flingueur infarctus

MICHEL GALABRU

 

Rondouillard, bourru

Comme Galabru bon enfant

Vignes rouges ou rosées

...

Zéro c’est le Nord…

Acteur bourru

Tu manques encore

 

 

 

 

 

PHILIPPE NOIRET

 

Voix de basse,

Élégance et discrétion...

Philippe Noiret !

 

 

JEAN ROCHEFORT

 

A travers le tableau, se glisse l’élégance,

La douceur amusée, moustache frémissante

Du magnifique acteur, toi, Jean Rochefort.

 

 

JEAN-PIERRE MARIELLE

 

Allure de seigneur

Pour l’homme de Pont-Aven

A la voix profonde

 

 

JEAN-PAUL BELMONDO

 

Rieur séducteur

Guignolo cabrioles folles

Jean-Paul Belmondo

 

 

BRIGITTE BARDOT

 

Cheveux en bataille

La lèvre est provocante –

Bout de sein pointu

...

Belle déesse aux seins nus

Rêveries d'adolescents

Les phoques sont contents

...

Et Dieu créa la femme

La France t’a faite Marianne, pétroleuse militante

Et beauté envoûtante

 

 

 

 

PIERRE RICHARD

 

Le grand blond marchait

Une chaussure noire

Cirée à son pied

 

 

MIREILLE D’ARC

 

Là, sur le tableau

Le visage de Mireille –

Robe noire fantasmée ?

 

 

 

PIERRE ARDITI

 

C’est de l’art, dit-il

Sur les planches du théâtre

Les trois coups sonnent

 

 

GÉRARD DEPARDIEU

 

Mince comme un fil

Cyrano bretteur habile

Dévie vers l'épais.

 

...

 

Puissante présence –

Depardieu, évidence brute

d’un monstre sacré

 

 

MARIE TRINTIGNANT

 

Marie mélancolique –

Vers quel ailleurs s’enfuit

Ton regard profond ?

***
QUELQUES PERSONNAGES

 

 

DOC

 

Doc multicolore –

Vers quel monde t’emporte

La DeLoréan ?

...

Viens avec moi doc

Retournons vers le futur

J’arrive Marty

 

 

LE JOKER

 

Sourire inquiétant –

Sous le maquillage de clown

L’homme est maléfique

 

 

GHOSTFACE

 

Sous le cri muet

L’horreur des tueries approche –

Frisson d’épouvante

 

 

 

ÇA

 

L’ombre attendait

Le fou rasa les vieux murs –

Lumière délirante

...

Clap de fin –

Adieu monstre déguisé

Le film est dans la boîte

 

 

 

ÇA

 

Il rit, le maudit

Fait pas peur, blancheur obscure –

Le monstre dévore

 

 

 

LE CHAPELIER FOU

 

Fantastiquement

Alice et son Chapelier –

Compagnons, duo

***
LA CONSÉCRATION

 

 

LE TAPIS ROUGE

 

Tapis rouge, symbole de cinéma

Y monter, en chemin vers la gloire

Chérissons encore ce doux espoir

...

Tapis rouge foulé

Dans la gloire monter les marches

Maintes stars ont chuté

 

 

 

CLAP

 

Clap de fin

Émotion rêvée --

Terminé

...

Clap de fin –

Histoire terminée

fatigué

...

Le clap a retenti

Moteur… Action…

Le silence s’installe bien avant d’être en salle

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Rédigé par Atelier Ecriture

Publié dans #Cinéma

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Publié le 15 Janvier 2020

ENTRACTE – Edward HOPPER

 

 

 

Enfin un peu de repos.

La salle s’est vidée. Le dernier spectateur de la dernière projection est sorti.

 

 

Dans sa robe stricte, l’ouvreuse triste, fatiguée, s’installe au premier rang, allonge ses jambes lourdes, rêve regard baissé sur la pointe de ses chaussures.

On est loin de « Femmes au bord de la crise de nerfs » plutôt « Une journée particulière » avec cette actrice qui n’attend plus rien pour elle mais continue pour ce qu’on attend d’elle…

20 ans, une vie !

20 ans qu’elle place les gens, distribue des bonbons et chocolats glacés à des garnements qui jettent tout au sol.

20 ans d’aspirateur entre deux séances. Une vie de choses courantes et domestiques qui rythmaient son quotidien. Enfin fini ! Alors un peu de repos avant de tout éteindre et de retrouver son deux pièces en ville.

 

« Fenêtre sur cour » comme elle dit. Son fils seul à la maison qui attend maman.

Ce soir elle rentrera plus tôt, aura le temps de… Pas comme l’autre soir où il avait réchauffé la purée qui l’attendait dans la chaleur tiède du four. Elle était rentrée sans faire de bruit, refermant doucement la porte. Son fils l’attendait endormi en travers de son lit pas défait. Elle pensait à ce film  qu’il avait tant aimé « L’été de Kikujiro », ce petit garçon qui s’obstinait à rechercher sa maman.

Elle était là maintenant, elle aurait tout le temps.

 

Ne pas oublier les courses, le frigo doit être vide. Il lui reste des paquets de bonbons, elle lui en apportera un, ils ne serviront plus maintenant.

Le cinéma, le rêve c’était pour le spectateur. Alors pourquoi penser à cette voiture qui allait subitement freiner lorsqu’elle traversera la rue et à cet homme sorti en trombe qui lui proposera une boisson pour s’excuser de son inattention ?

Gary Grant ça n’existe que sur écran en couleur !

 

Le rideau de la scène est tombé face à elle. Son regard se trouble. Elle voit les rayonnages alignés, les caisses avec les queues de clients.

Peut être pourra-t-elle se faire embaucher ?

Le ciné est vendu. C’est un supermarché qui prend la suite. Ces magasins où le client choisit tout seul, personne ne le sert. Avant de sortir il dépose à la caisse ce qu’il a choisi. C’est nouveau. Il parait que ça fonctionne bien sur la côte Est.

Ça sert à quoi de remuer tout ça ? Elle va être en retard.

Un dernier soupir, elle va se lever et tout éteindre…

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Rédigé par Gérald

Publié dans #Cinéma

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Publié le 15 Janvier 2020

ENTRACTE – Edward HOPPER

 

 

C’est donc l’entracte, comme l’indique le titre. La salle s’est vidée. Enfin, pas tout à fait. Au premier rang des larges fauteuils, face au côté jardin de la scène, elle est assise. Calme, détendue, pensive, elle semble méditer.

 

Ses bras nus reposent sur les accoudoirs. Ses jambes sont étendues devant elle, les chevilles croisées au sol.

Symphonie de bleus depuis les murs en tissu tendu aux larges fauteuils carrés, jusqu’à sa robe toute simple, d’un bleu foncé. La moquette dorée assortie au rideau de scène semble éclairer son visage. Une Mona Lisa aux yeux baissés. Telle qu’elle est, on aurait peur de lui adresser la parole, tant elle semble absorbée par quelque pensée mélancolique.

Aucun bruit ne transparaît de cette scène, la salle entière semble silencieuse, incapable de la distraire. C’est à se demander si le spectacle va vraiment reprendre après le temps règlementaire, tant la sonnerie annonçant la deuxième partie paraît totalement improbable et incongrue.

Et si elle attendait tout simplement la séance suivante, désireuse de vivre à nouveau les émotions qui semblent l’avoir transportée si loin d’ici ?

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Rédigé par Bernadette

Publié dans #Cinéma

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Publié le 13 Janvier 2020

 

TABLEAUX ET TERCETS

 

Choisir quelques tableaux et les commenter par un seul tercet, en mono-rimes, rimes plates et embrassées, en vers libres, ou en haïkus. Travaillez le rythme et la musicalité en harmonie avec l’image..

LECTURE :

Six tercets de Charles Cros

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Rédigé par Atelier Ecriture

Publié dans #Cinéma

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Publié le 11 Janvier 2020

ENTRACTE – Edward HOPPER

 

 

« Toute la misère du monde » aurait été le titre de ce tableau si j’en avais été l’auteur. En fait Edward Hopper l’a peint en dix-neuf cent soixante-trois et nommé « Entract »

 

 

Entracte, moment de répit dans le cours d’une vie. Voilà ce que suggère cette jeune femme avachie plus qu’assise dans un fauteuil vert bouteille face à la scène récemment repeinte crème glacée vanille corsée au café des hauts plateaux du Nicaragua. La salle de spectacle est vide, elle est seule.

Sa robe bleue pétrole d’une coupe stricte laisse croire qu’il s’agit de l’ouvreuse, elle détend ses jambes lourdes, repose ses pieds gonflés mais n’ose ôter ses escarpins noirs, un spectateur en avance pourrait ouvrir la porte cachée dans le mur gris souris barré d’une corniche noire. Son port de tête, son expression dénote une immense lassitude comme en exprime les personnes de basse extraction harassées par un travail mal rémunéré, contraintes d’effectuer des heures supplémentaires subies, qui voient l’âge pivot de départ à la retraite sans cesse reculé et surtout sans aucune reconnaissance par la société. S’ils n’étaient multitude nous pourrions douter de leur existence. Ces gens sont ballottés des heures durant dans les transports en commun sales et puant la transpiration de corps mal nourris, assaillis par les mille et un tracas de la vie quotidienne d’un pauvre toujours à la recherche de la moindre piécette pour acheter une baguette de pain « tradition », un litre de vin rouge qui tache. Cette plèbe ne laisse qu’une très faible empreinte carbone et savoir qu’elle participe ainsi au sauvetage de la planète est pour elle une immense source de bonheur et de satisfaction mais pas la seule, les séries télé participent également pour beaucoup.

Immisçons-nous dans ses pensées. Oh n’attendez pas de fulgurances ou traits de génie, non, seulement de petites actions à faire, oubliées ou procrastinées.

  • Ai-je bien fermé le gaz avant de partir.

  • Si Steve rentre encore bourré et me tabasse, cette fois je le vire, peut-être.

  • Ne pas oublier de payer la cantine scolaire comme le mois dernier, pauvre Peter il l’a sauté.

 

Heureusement la moquette, couleur des blés durs mûrs des grandes plaines du Midwest, réchauffe ce tableau dominé par des couleurs froides et nous évite ainsi un sérieux coup de mou.

La légende new-yorkaise rapporte que Joséphine, son épouse née Verstille Nivison, aurait confié à un ami de la famille les dernières paroles du Maître « la vie n’est pas gaîté tous les jours »

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Rédigé par Hervé

Publié dans #Cinéma

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Publié le 10 Janvier 2020

ENTRACTE – Edward HOPPER

 

La pièce est plongée dans le silence, sur le mur gris bleuté, se diffuse une lumière blafarde qui accentue la perspective de l’espace surligné par un bandeau de couleur sombre.

 

Les sièges, comme des soldats dans leur uniforme de velours vert, sont alignés. Ils attendent les cinéphiles qui viendront un soir les épouser, le temps d’une séance lorsque l’obscurité laissera à l’écran blanc son rôle premier.

Le film venait juste de se terminer, je m’apprêtais à fermer la salle lorsque je la vis. Une jeune femme dans une robe bleue marine, était là, assise, plongée dans son monde, son regard semblait perdu fixant le bout de ses pieds, finition parfaite de ses longues jambes croisées.

Rien ne la fait sursauter, une ombre joue sur sa poitrine. Les gens sont partis, je suis seul, je la regarde en silence, spectateur privilégié devant tant de beauté. Elle dort et je n’ose pas la réveiller.

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Rédigé par Bernard

Publié dans #Cinéma

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Publié le 9 Janvier 2020

ENTRACTE – Edward HOPPER

 

 

Elle avait prévu d'aller au cinéma voir son film préféré, une histoire d'amour sur fond de savane et de chaleur torride " OUT OF AFRICA ".

-  Je suis seule, pense-t-elle , c'est bien !!! 

 

 

Christine aime cette atmosphère intimiste. Qu' a voulu représenter E. HOPPER dans ce cadre insolite, où règnent solitude et présence accrue de fauteuils attendant les spectateurs.

Les murs, un coup de pinceau d'un gris triste, sous l'effet d'une humeur mélancolique faite en plongée du bas de la scène au plus près de l'écran. Soudain, un trait de folie, le tube d'ocre tombe sur le sol et tapisse la moquette usée de la salle, la rendant moelleuse à vue.

Pourquoi la couleur ne remonterait-elle pas sur les parois de l'écran !

Que pense Christine.… mais non, elle n'est pas encore là..

Grande réflexion sur la présence d'un ou plusieurs personnages.

Petite salle cosy, deux sièges de côté, peut être plus, certainement d'avantage.

Commençons par l'agencement du local, c'est un cinéma, donc des sièges, confortables ou peu, ils ne sont pas là pour se reposer, rêver peut être, mais fonctionnels.

Un gros tube de vert sapin sort de sa cachette, un chiffon sale le recouvrant à moitié, soyons fort, un gros jet de cette matière semi compacte et lisse sur les formes déjà dessinées.

-  Bon, c'est bien, tout y est, pense HOPPER. Ah non, la spectatrice, oui une femme, élancée, rousse, j'aime bien les rousses silencieuses.

Restons un peu avec elle, Christine, (le nom de mon épouse), détendue mais pas trop, ses longues jambes sont croisées, les bras bien posés sur les accoudoirs, le film va commencer. La robe bleue, elle adore le bleu chic de sa robe assortie à ses escarpins.

-  Peinture réaliste, mon tableau prend forme, partant d'une tristesse pathologique, j'ai tout de même mis un mouvement coloré pour accueillir avec joie les futurs spectateurs.

-  C'est vrai, mes pinceaux et mes tubes de peinture remplissent ma vie de joie, ma main et mon esprit s'envolent....

Le noir et blanc et la couleur, antagonistes pour mon cerveau hésitant.

Bon film Christine......

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Rédigé par Dominique

Publié dans #Cinéma

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