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Publié le 3 Mars 2023

Rédigé par Mado

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Publié le 3 Mars 2023

 

 

 

Marie est heureuse. Du haut de ses sept ans, elle part en vacances chez ses grands-parents. Dans le couloir du train qui l'amène à sa destination, elle repense à la scène qu'elle a surprise ce matin.

 

 

 

Sa valise bouclée, impatiente de partir en voyage toute seule comme une grande, elle voulu presser ses parents pour ne pas rater son départ, quand, en passant devant la porte ouverte de leur chambre, elle les vit en train de s'embrasser. Gênée par ce qu'elle avait vu, elle prit le parti de s'éloigner rapidement en faisant semblant de les chercher. Finalement elle ne rata pas son train, mais elle fut troublée par ce qu'elle n'arrivait pas à s'expliquer.

La joie d'arriver à destination et de retrouver son grand-père venu la chercher effaça son trouble et lui rendit son sourire. Fatiguée par le voyage elle ne se fit pas prier pour faire un brin de toilette et se glisser dans ces draps qui sentaient bon le thym et la lavande. Ses yeux se fermèrent et l'installèrent dans un bien-être protecteur. Doucement, elle laissait ses rêves prendre possession de son sommeil, quand elle sentit un souffle d'air indélicat caresser son visage.
Que se passait-il ? Elle ouvrit ses yeux et elle aperçut deux mains aux longs doigts crochus comme des griffes menaçantes qui s'agitaient devant elle. Marie, bouche bée de stupeur, resta muette. La peur, ou plutôt la terreur, la paralysait. Seule, la lune dispensait, par une petite lucarne un semblant de lueur qui donnait à ces deux mains une réalité infernale. Une voix spectrale se fit entendre... Tu as sept ans! Tu es maintenant en âge de payer la dette. Un de tes anciens a fauté et le sort a voulu, après plusieurs générations, que ce soit toi qui rembourses ce qui est dû.
 
Si tu ne payes pas, ces ongles pointus laboureront ton visage… ou pas ! Ces griffes crèveront tes yeux… ou pas ! Tu devras t'acquitter, sinon ton avenir sera ou ne sera pas ! Si tu ne fais pas ce que tu dois, ces questions ne t'amèneront pas de réponse et tu perdras ta raison à vouloir trouver une solution là où il n'y en a pas. Je vais te laisser à ta nuit. Mais je suis là, près de toi et j'attends mon dû. N'oublie pas. Mes mains m'accompagnent où que j'aille, et je saurai te trouver où que tu sois.
Marie tressaillit, elle ouvrit grand ses yeux. Elle était moite de sueur, et tout son corps tremblait comme une feuille tombée de son arbre pour affronter un funeste dessein. Son regard apeuré explora la chambre. Personne ! J'ai dû faire un cauchemar, c'est sûrement ça… ou pas.
 

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Rédigé par Fernand

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Publié le 2 Mars 2023

Avec des si. 
 
Sur le chevalet de lartiste,
trône un regard en biais, larcade en circonflexe.
Dans un ressuscité de couleurs vives, Cézanne peint.
Il bouge et remue du classique.
 
Soudain une colonie de neurones séchappe de sa tête crânienne.
Du tiroir ouvert, on aperçoit une horde denfants Openofice.
Ils ont quitt
é leur chaise à musique et débranché toutes les puces.
Tous des enfants de la lune.
Cette nuit ils sortiront comme chaque dernier quartier,
la face cachée par une couche dinvisible.
Ils iront au cinéma.
 
Chevelure électrique , branché à un compresseur basse tension.
Cézanne machine et il attend.
Il a beaucoup travaillé pour que surgisse des limbes cette classe,
des petits de maternelle adoptés par gougle,
à distribuer dans les fauteuils bleus du grand écran.
Cézanne acrylique.
Il dessine,
chacun son sourcil et coiffure bien arrangée.
Il chiffonne les visions,
il accroche aux images des presque myopes, des peurs en cascade.
Les angoisses frissonnent, elles tremblent face au béant.
Qu’importe. Cézanne jettera le trouble.
Il a trouvé comment mieux leur faire voir du regard.
Des ronds à la place des amandes,
Des ronds plus que des yeux, des toupies,
juste un point noir irisé dans le blanc,
la naissance de cercles potelés pour arrondir tous les angles,
une beauté jeune, émoticône, très douée d’un sans rien dire.
Lartiste jubile de ces dessins composites,
l’ébauche d’un grand dessein,
jusque tard dans la soirée.
 
Au matin naissant, plutôt épuisé,
le visage défait dun semblant de bonne figure,
l’image de l’hologramme se liquéfiera de son contour fantasque.
 
Des si encore plein les tiroirs…

 
 
Dany-L

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Rédigé par Dany-L

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Publié le 2 Mars 2023

 

Thomas avait quelques heures à tuer… Quelle expression bizarre ! On tue quelqu’un, on tue un animal, on tue je ne sais pas quoi, mais tuer le temps ??? Est-ce que l’on en a trop pour en éliminer de précieux instants ??? Donc je reprends : Thomas avait quelques heures devant lui. Oui, c’est beaucoup mieux et tout de suite on a meilleur moral. Non ?

Il avait décidé, malgré le mauvais temps qui s’était installé durant la nuit, d’aller marcher en forêt, pensant glaner quelques belles images de cette neige fraîche qui commençait à envelopper la nature, recouvrir les buissons épineux enchevêtrés aux pieds des sapins. C’était un paysage en noir et blanc, mystérieux à souhait, et Thomas avançait avec peine, trébuchant souvent sur quelque racine insoupçonnable ou quelque pierre qui roulait sous ses semelles.

 

 

Au-dessus de sa tête, un monde se réveillait. Des oiseaux recommençaient à se faire entendre, preuve que la tempête était passée. Il recevait d’ailleurs de temps en temps une bonne douche neigeuse lorsqu’en effleurant une branche, une mésange venait à troubler l’équilibre fragile de la masse blanche amassée dans la nuit.

Il entendit au loin des sons de cloches. Il n’y avait pourtant aucun village alentour ! Puis un arbre se pencha brusquement vers lui, l’enserrant de ses branches noires, froides et dénudées. Il étouffait dans cet étau glacé et se débattait piteusement en essayant de s’en défaire. Les buissons accrochaient son pantalon, rendant toute tentative d’évasion ardue.

Au son des cloches se mêlaient à présent des voix graves, rythmées sur deux temps, lancinantes et obsessionnelles.

Une frayeur sourde l’envahit alors et une poussée d’adrénaline –comment expliquer autrement ?- lui donna des forces pour sortir au plus vite de ce piège sylvestre qui s’était refermé sur lui.

Il poursuivait sa course lorsqu’un escalier apparut devant lui. Ses marches et sa rampe noires et blanches dessinaient une figure géométrique improbable. Il décida de l’emprunter alors que les voix se faisaient de plus en plus proches et les cloches de plus en plus insistantes. Cet escalier n’en finissait pas, en fait des marches se rajoutaient au fur et à mesure de son ascension. Un gong retentit, proche. Il continuait à monter et arriva finalement au niveau d’un piton rocheux, en pleine lumière, sur un replat où face à lui se trouvait une porte dorée.

 

 

Les voix semblaient venir de derrière la porte, les carillons résonnaient dans ses oreilles. Un ultime coup de gong le fit sursauter.

La porte s’ouvrit sur un homme minuscule, aux grands yeux noirs et au sourire édenté, qui le tira à l’intérieur.

Il y avait là des hommes vêtus de pagnes rouges qui l’encerclèrent et commencèrent à le déshabiller…

On lui tapotait l’épaule et une voix féminine le fit se retourner.

En se réveillant, il reconnut la gardienne du refuge dans lequel il s’était arrêté faire une pause à l’issue de sa balade en forêt. Elle lui souriait. Quelque peu hébété, il se dit qu’il n’aurait jamais dû accepter sa tisane maison « aux herbes de la forêt »…

Il sortit du refuge, reprit sa marche et alors qu’il débouchait sur un escalier dont les marches et la rampe noires et blanches dessinaient une figure géométrique improbable, il rebroussa chemin.

 

 

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Rédigé par Bernadette

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Publié le 1 Mars 2023

 

 

Je profite de mon passage à Paris pour me rendre au musée du Louvre pour aller admirer l’un des tableaux les plus connus de la planète : « La Joconde » de Léonard de Vinci. Comme il est tôt il y a peu de monde dans la salle où elle se trouve et je peux profiter pleinement de sa présence. Alors que je la contemple depuis un moment, son regard me fascine. Je me rapproche peu à peu du tableau. Et, soudain, je suis aspirée, incapable de résister…

 

 

 

 

Il fait déjà noir. Une bande rougeâtre à l’horizon m’indique que le soleil vient de disparaître. Un vent violent agite les branches des palmiers qui bordent cette plage immense et inconnue. Il y règne une chaleur lourde et humide. J’éprouve une sensation étrange, comme une grande fatigue qui m’empêche d’avancer. Je m’allonge sur le sable et je ferme les yeux…

 

Quand je les ouvre à nouveau la plage a disparu. Je suis transie de froid. L’endroit où je me trouve est à la fois lugubre et inquiétant. Tout est bleu. Un épais brouillard rend la visibilité quasi nulle. Je distingue avec peine quelques pans de murs en planches, ci et là. J’essaye d’avancer malgré tout quand, soudain, je l’aperçois. Il est vêtu d’un long manteau blanc. Ses cheveux longs et sa barbe sont blancs aussi. Il avance lentement dans ma direction. Même si ses pieds ne semblent pas toucher le sol, ses pas résonnent dans ma tête. Plus il approche, plus le son devient assourdissant. J’essaye de crier mais aucun son ne sort de ma gorge. J’essaye de courir mais mes jambes refusent de me porter. La peur me paralyse. Que va-t-il m’arriver ?...

Il me semble que l’on me secoue. J’entends une voix masculine crier plusieurs fois « Madame ! ». J’ouvre les yeux avec difficulté et j’aperçois le visage inquiet d’un jeune homme penché au-dessus de moi. Que m’arrive-t-il ? Je réalise alors que je suis au musée du Louvre devant le tableau de la Joconde et que je viens tout simplement de m’évanouir. Je suis sensible à la peinture, certes, mais jamais un tableau ne m’a fait un tel effet. Avant de quitter la salle je me retourne une dernière fois : Mona Lisa qui me suit du regard me sourit, mais j’ai comme l’impression qu’elle se moque gentiment de moi.
 

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Rédigé par Elisabeth

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Publié le 1 Mars 2023

 
J’avais passé une journée épouvantable. Décidément le lundi ne me réussissait pas. La plupart de mes rendez-vous n’avaient pas abouti et je me retrouvais dans les embouteillages parisiens sous une pluie battante. Heureusement, je devais retrouver Pierre à notre resto habituel comme tous les lundis. J’arrivais enfin le temps de trouver une place et je me précipitais à notre rendez-vous. Je fus étonné de ne pas le trouver lui toujours si ponctuel. Autour de moi, les serveuses s’agitaient dans un brouhaha qui acheva de m’épuiser. Alors que je me commandais un apéritif, un message s’afficha sur mon portable. C’était Pierre qui s’excusait de son retard.
 
Un incident étrange était arrivé à la centrale informatique où il travaillait et me dit de ne pas l’attendre car il risquait d’y passer la nuit. Quand je lui demandais de quoi il s’agissait, il me répondit qu’il ne pouvait rien divulguer dans le cadre de son travail. Je lui souhaitais bon courage et je me commandais un steak frites.
 
Vivement que cette journée se termine, rien n’avait fonctionné comme prévu.
Je ne croyais pas si bien dire.
Je rentrais chez moi, et pour me détendre je décidais de regarder une série sur Netflix, l’écran resta noir. Voila maintenant ma Box internet en panne, il ne me manquait plus que ça. J’allais me coucher avec un bon livre histoire de me changer les idées.
Je fus réveillé par la lumière du jour. Mon téléphone n’avait pas sonné. Que se passait-il ? Cette panne de réseau dont m’avait parlé Pierre, s’était-elle propagée ? Je me préparais en vitesse, bus mon café et descendis quatre à quatre mes escaliers.
 
L’atmosphère dehors était étrange, Tout les passants semblaient perdus, tapotaient sur l’écran noir de leur portable. J’entendis les sirènes des pompiers, je voyais passer les ambulances. Les feux de croisement clignotaient en passant du rouge au vert provoquant des accidents.
On aurait dit qu’en une nuit le monde avait changé. Autour de moi les gens s’invectivaient près de leur véhicule endommagé. Le métro était aussi fermé pour cause d’incident.
Je marchais le long des grands boulevards pour me rendre à mon bureau.
 
Une foule attendait devant les portes qui refusaient de s’ouvrir.
 
 
En interrogeant certain de mes collègues j’appris que personne n’avait pu pénétrer dans l’immeuble, même le service informatique paraissait dépassé par ces événements.
Tout à coup nous entendîmes des appels lancés par un porte-voix installé sur une voiture.
 
 
C’était un message du gouvernement qui nous demandait de rentrer chez nous dans le calme. Un problème informatique avait déréglé tous nos appareils mais il avait la situation en main et que cet incident serait réglé très rapidement. Il y eut un mouvement de panique, tout le monde courait dans tous les sens les magasins d’alimentation furent envahis par une foule affolée. L’apocalypse avait-elle commencé et je commençais à regretter mon misérable Lundi.
 

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Rédigé par Brigitte N.

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Publié le 1 Mars 2023

Rédigé par Arlette

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Publié le 1 Mars 2023

Rédigé par Ghislaine

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Publié le 28 Février 2023

 

C’était il y a bien longtemps sur la Terre. Amélie et Laura se promenaient tranquillement dans un jardin en plein centre de Paris. Comme souvent, les deux amies prenaient plaisir à échanger et à refaire le monde. Le Soleil, notre étoile, était encore un astre brillant. Ses rayons se faufilaient chaleureusement dans le feuillage des arbres du square. Ni Amélie, ni Laura ne se doutaient que tout cela bientôt n’existerait plus.

 

 

Au même moment, à des années lumières de leur planète, une explosion venait de se produire. Une super nova, qu’elles auraient même pu observer si elles avaient levé les yeux vers le ciel à ce moment–là. Loin, très loin d’elles, un nuage gazeux commençait à envahir l’espace intergalactique. Comme un feu d’artifice aux mille couleurs, les émanations se propageaient dans tous les sens à une vitesse incroyable.

 
 
Sur la Terre, les deux amies poursuivaient leur promenade et leur discussion paisiblement. Le ciel était encore bleu au-dessus d’elles. Il faisait doux en cette fin d’après-midi de printemps. Il flottait dans l’air un parfum suave et elles voulaient profiter le plus longtemps possible de ce moment si agréable.
Là-haut le chaos commençait. Le nuage de gaz gigantesque mangeait petit à petit les galaxies les plus proches de lui. Comme une onde galopante et incontrôlable, il avalait des milliers d’étoiles par paquets, sans distinction, les bleues, les jaunes, les rouges. Sa faim n’avait pas de limite. Il arriva rapidement tout près de la Voie lactée et se mit à grignoter notre galaxie avec frénésie.
Sur la Terre, rien n’avait encore changé. Le Soleil brillait juste un peu moins mais c’était seulement parce que le crépuscule s’annonçait. Les oiseaux chantaient toujours. Amélie et Laura venaient finalement de se quitter et rentraient chez elles chacune de son côté. Elles s’étaient promis de se revoir bientôt. Elles ne savaient pas que dans quelques heures pourtant le jour ne se lèverait pas et qu’il n’y aurait pas de lendemain.

 

Dans l’espace, le monstre dévorant venait d’engloutir les premiers astres de notre système solaire trouvés sur son chemin. Il n’en faisait qu’une bouchée. Il gobait les planètes géantes comme des bulles de savon. Il attaquait déjà Mars… Dans quelques minutes le Soleil allait s’éteindre sur la Terre comme tous les soirs depuis des milliards d’années mais la nuit, elle, tomberait pour la dernière fois.


 
 
 
 
 

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Rédigé par Mireille

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Publié le 28 Février 2023

 
Son imagination était débordante, son cerveau travaillait rapidement
Déjà enfant, il lui arrivait d’étranges manifestations.
Lisant un livre calmement assis par terre le dos au mur il lui semblait que les personnages s’agitaient autour de lui : allongés sur le lit, penchés à la fenêtre.
Comme certains enfants uniques, qui se fabriques un ami imaginaire, Petit PAUL s’était habitué à ces curiosités, et avait nommé son compagnon « GHOST », ce dernier n’avait pas d’avis particulier, mais sa présence lui suffisait.
En grandissant, PAUL devint un beau jeune homme, séduisant, un peu dandy, très apprécié de la gente féminine, mais un peu étrange…
GHOST, n’était présent que lorsque PAUL en avait besoin, une contrariété, le refus d’un supérieur, ou d’une fille, ce qui lui arrivait souvent.
Alors en cachette, son esprit tourmenté fit des retours en enfance et se tournait vers son vieux GHOST.
PAUL fit du théâtre, il composait bien, déclamait bien, ses partenaires l’appréciaient.
Sa vie se déroulait comme il se doit, son dandisme prenait au fil du temps un caractère irascible et prétentieux.
Un jour GHOST s’en mêla et le fit approcher d’un psyché d’abord, puis d’un miroir.
Là , ‘Monsieur’ PAUL eut peur, « ce n’est pas moi dit- il », s’arrachant presque le visage avec des doigts vengeurs, creusant ses rides infâmes et dévastatrices.  
Certains de ses amis se renseignaient sur son comportement, est-il malade, que lui arrive-t-il ?
Une de ses pièces était « Le Portrait de Dorian Gray » de Oscar WILDE qu’il interprétait avec les louanges du public.
Une certaine ressemblance, l’un ne voulant pas vieillir, maudissant  le tableau, l’autre n’acceptant pas la vieillesse du temps.
-GHOST, y aurait-il un moyen de rester jeune, mes peurs se font plus etranges, ma tête me brûle de doutes, je voudrais retrouver mon enfance avec mon ami imaginaire et lire, lire des romans sans angoisse, être un petit garçon sage et rêveur.

 

PAUL, présentant des troubles ‘d’ASPERGER’ depuis tout petit, se fit toutefois une vie accompagnée de doutes en surmontant ses troubles psychiques.

Son ami imaginaire sera toujours présent dans son esprit troublé…    
 
 
 
 
 
 

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Rédigé par Dominique

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