Publié le 29 Janvier 2020

LES CADAVRES EXQUIS

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Rédigé par Atelier Ecriture

Publié dans #Cinéma

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Publié le 29 Janvier 2020

LE TONNEAU

-Ah mon gaillard on a fini par te coincer !

-Mais lâchez moi bande de truffes !

-Quoi ? Des insultes en plus ? Ton compte est bon.

-Laisse faire Léon, il parle en langage codé, c’est le deuxième bureau qui m’a mis au parfum.

-Le deuxième bureau ! Mais je rêve ! A quel étage votre deuxième bureau ? Vous deux vous sortez plutôt du sous-sol, à ras les plinthes je dirais même.

Un passant débonnaire, les mains dans les poches, suit la scène depuis un moment,

-Bravo les gars, vous avez coincé un membre de la cinquième colonne à ce qu’il paraît ?

-Cinquième colonne, deuxième bureau, mais M…e à la fin, vous allez me laisser récupérer mon galure. C’est quoi pour vous ? Une pièce à conviction, un émetteur peut-être ?

-Tu vois Léon je te l’avais dit, il embrouille les cartes. Tout est codé avec lui !

-Je ne sais pas si tout est codé mais vous, vous dérapez sec !

-Sec, sec, tu ne manque pas d’aplomb avec ce tonneau que tu t’apprêtais à siphonner. Ça fait un moment qu’on t’a à l’œil. Je ne te dis pas qui aurait été le plus imbibé de nous trois !

-Ah ! Voilà un langage que je comprends mieux.

Le clodo se retourne et interpelle la cafetière qui suivait l’action.

-Julie tu as trois verres pour trinquer avec ces dérangés du cervelet…

-Chef, vous croyez qu’on peut…

 

Le metteur en scène lève le bras, se détache de la caméra :

-PARFAIT, coupez ! Tournée générale ! Alors on le met en perce ce tonneau !

 

 

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Rédigé par Gérald

Publié dans #Cinéma

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Publié le 29 Janvier 2020

PHOTO DE RUE

Subjectif négatif

Ils n'ont pas de bagage ces deux là.
Elle a les cheveux déplacés et lui la cravate de travers.

Ils ont fait vite pour quitter l'hôtel.
Il était l'heure de faire les chambres.

Enfin, ils n'ont pas dû payer trop cher
pour cette nuit unique dans ce boui-boui,
juste à côté du théâtre.

A travers la cloison de papier mâché,
ils ont tout entendu de la pièce,
un magnifique "Casse noisette".

Pour le coup, ils sont bien cassés.
Plantés là, au milieu de cette rue ordinaire
on dirait deux orphelins qui attendent leur maman.
La pitié me gagne.


Subjectif positif

On a évacué la rue, vidé la boîte aux lettres
et mis les freins à main aux autos.
Les deux acolytes veulent l'exclusivité.
Ce sont les enfants du cousin du grand père
du Président Trump, pensez donc !

Cette rue doit être débaptisée.
On va la vider de son sens.
Elle s'appelle M Obama street.

Allez, messieurs dames, vous êtes filmés.
Souriez.

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Rédigé par Dany-L

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Publié le 28 Janvier 2020

TOUS ENSEMBLE

Tous ensemble ... tous ensemble ...

 

Mais chacun à son rythme, of course. Regard oblique vers la caméra. Il hurle dans son chapeau, pardon, dans son haut-parleur, mais c'est un film muet, je pense. Enfin, ce que j'en dit...tout le monde s'en fout. D'ailleurs, l'important c'est le casting des stars un peu désuètes. Je passerai la pommade et les couleurs plus tard.

 

On s'ennuie ferme entre deux prises. Si au moins, on nous servait du café et quelques sandwiches !

 

A quelle heure on va encore finir aujourd'hui ? Bon ras le bol de ce chapeau. Allez, je me casse à la buvette.

 

Merde, au prix ou je les paie, ils pourraient faire un effort. On est pas au fond de la mine à pousser les wagons. Au lieu de profiter du soleil, ils râlent. Le prochain film direction la Sibérie. ça va leur apprendre.

 

Gérer le personnel, c'est toujours difficile surtout quand on est plusieurs en restant singuliers.

 

Heureusement, le scénario sauvera le film.

 

Mais qu'est ce que c'est que ces acteurs ? ils sont tous plus nuls les uns que les autres, j' ai jamais vu ça. La directrice de casting, elle va m'entendre. D'ailleurs, je vais la virer.

 

J'en ai vu passer des acteurs, mais aujourd'hui c'est le pompon pense le metteur en scène. Heureusement que dans huit jours, je tourne un super film en Sibérie.

 

- Ah c'est vous Laurent, le metteur en scène ? où en êtes vous ? Dans les années 50 c'était une autre vie qu'en 2020. On compare ce qui n'est pas comparable, et patati et patata...

 

Revenez demain. les studios sont déjà loués pour l après midi.

 

Laurent, au porte-voix :

 

- Hep Julie, viens là, j'ai retrouvé la sucette du gosse.

- Toi Arthur, bouge toi et va ranger tous les blablas avec les patati et les patata

Demain matin, à la fraîche, on mettra tous nos bouches en cœur.

 

 

 

 

 

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Rédigé par Atelier Ecriture

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Publié le 28 Janvier 2020

ARMÉ D'UN PORTE-VOIX..

Armé d’un porte-voix et coiffé d’un haut-de-forme Laurent le metteur en scène appelait son troupeau comme il avait coutume de nommer ses acteurs.

Il y a un problème de son, s’écrie Julien, interprétant le vieil homme et l’enfant, ce dernier s’amusant tranquillement attendant que ça se passe.

  • Tu es sourd ! lui répond Mado. Mets tes appareils…

  • Laurent, j’ai vérifié le plateau, il manque quelques boulons.

  • Comment ?

  • Il est complètement sourd !

  • C’est pas plutôt le troupeau qui a un problème d’écoute ? Ça jacasse en sourdine et après ça râle ! Hurle le preneur de son, chauve et mal luné.

Pas facile de faire respecter les directives, chacun crie plus fort que son voisin, c’est la foire d’empoigne !!!

Emile assis nonchalamment, le menton dans sa main, comptait les points.

Laurent s’énerve pour de bon. Tout rouge.

  • Vous allez la fermer oui ! On bosse là, non mais… Bande de…

  • Bons à rien, allez on y croit, cool ! Il fait beau et demain ils annoncent de la pluie.

  • Oui au travail !

Il serait temps, il est dix-neuf heures, on ferme, à demain.

  • Ta, ta, ta, on finit le plan. Allez, courage.

  • Tu rigoles ! J’appelle à la grève illimitée jusqu’à ma retraite !

  • Que c’est celui-là ?

  • Notre délégué syndical mais il n’a pas tout compris des mots d’ordre de la centrale.

  • Non mais ça va pas ! Où vous vous croyez ? Vous êtes pas sur une chaîne d’assemblage chez Renault ! Vous vous rendez pas compte de la chance que vous avez !

  • Allez, encore un petit effort, la journée touche à sa fin. Dans l’ensemble on s’en est bien sortis !

Laurent semble satisfait après toutes les émotions vécues par cette chaude journée.

 

 

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Rédigé par Atelier Ecriture

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Publié le 28 Janvier 2020

GRÈVE AUX STUDIOS DE LA VICTORINE

Grève aux studios de la Victorine, le délégué syndical donne tout haut les résultats de la concertation. La grève continue à cinquante sept pour cent de votants.

Au-dessous de l’estrade trois ou quatre bonhommes semblaient se désintéresser de ce qui se passait. C’étaient l’heure de la sieste sans doute. Et puis avec cette chaleur, grève ou pas grève, ils ne semblaient pas avoir l’intention de bouger.

Oh doucement ! Aujourd’hui peut-être ou alors demain. Ce maudit soleil semblait leur avoir donné la flemme.

C’est que la flemme à Nice, c’est un sport national. Dès la naissance on forme des champions.

Jusqu’au bout nous ne cèderons pas ! Non, non au travail sous le soleil !

Nos revendications :

  • Une bière au centre boissons fraîche tous les quarts d’heure.

  • Des chapeaux ou casquettes pour tous, quel que soit le personnage.

  • Des parasols et des ventilateurs pour se rafraîchir pendant la journée.

  • Une pose déjeuner d’une heure et demie avec buffet froid à volonté.

C’est alors que le metteur en scène se saisit de son porte-voix et crie de colère, annonce que pour répondre aux revendications fantaisistes des comédiens il les vire tous et fera son film avec des gens sensés.

  • Bien dit, approuve Julien (toujours lui) On garde qui ?

  • Le bébé et sa mère, Sébastien (qui a trouvé des sucettes) et qui, et qui…

  • Allez, trêve de plaisanterie, on reprend sérieusement. Allez tout le monde. On tourne là nouveau…

Il a dit Julien on verra demain alors moi je me casse, j’ai mes gosses à aller chercher et le pain à prendre. Julien il n’arrête pas de faire son cinéma, mais moi je suis dans la vraie vie.

Alors là bravo à tous, on passe du présent au passé pour heurter le futur… Sans parler du manifeste syndical avec relents hypnotique. Sébastien joue la mère du jeune têtard à sucette, çà c’est pas joli, joli !

Décidément dix-neuf cent trente-six est bien loin, chacun pour soi voilà le résultat de l’individualisme, il a suffi d’un cri du patron et tout le monde reprend son rôle. Marx doit se retourner dans sa tombe.

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Rédigé par Atelier Ecriture

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Publié le 28 Janvier 2020

LA CAMÉRA ÉTAIT À L'OMBRE

La caméra était à l’ombre du parasol, juchée sur une estrade. Le metteur en scène assis à côté donnait quelques instructions dans son porte-voix.

Ecrasé de soleil, il avait chipé le haut de forme de l’accessoiriste en attendant que l’autre tire-au-flanc assis devant l’estrade veuille bien bouger son cul pour aller lui chercher sa casquette.

Il pourrait par la même occasion ramener deux ou trois bières bien fraîches. On peut rêver ! Allez, on tourne !

Pas possible, il est midi et demie, la nourriture refroidit dans les assiettes. Pourvu qu’il y ait salade niçoise au menu.

Menue, menue, comme ma rémunération pense in-petto le metteur en scène ; à partir d’aujourd’hui je ne fais plus que des films américains avec Marylin et John.

En attendant, il faut le faire ce film. Allez, tout le monde en place, on reprend. Je sais, il fait très chaud mais c’est la dernière prise. Après, pause déjeuner pour tout le monde !

« Dernière prise » a dit le metteur en scène. Mais personne n’y croit. Tous traînent les pieds. Même la pause déjeuner ne fait avancer personne. C’est un mauvais jour.

Et la pluie s’en mêle, pluie d’été, il va y avoir de l’orage. « Vite aux abris » dit Julien le perchiste, en riant aux éclats « Excusez-moi, c’est nerveux ». On n’a pas une scène avec de la pluie…. Oui mais pas tout de suite, dommage… Regarde Martine avec son parasol en guise de parapluie. Remarque, dit Julien, c’est quand même bien dans le thème… Regarde la pluie s’est arrêtée, remarque le metteur en scène. On reprend. On tourne.

Taratata, on tournera demain, j’ai les gosses à aller chercher à l’école de musique.

Et voilà comment le quotidien plombe le rêve !... Julien le perchiste déploie puis rengaine la lance à incendie qui génère la pluie… et lance une œillade meurtrière à Julie, la jeune première aux prises avec le prédateur notoire qui les dirige… Encore une scène en vue !

Il ne manque plus qu’une scène de ménage, c’est vrai que Julie avec sa jupe ras les fesses allume tous les hommes du plateau et alors là maintenant avec le tee-shirt mouillé, comment vous dire ???

Dommage qu’elle ne soit pas gaulée comme l’était Marylin, j’aurais bien endossé le rôle de « Mister President» !

 

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Rédigé par Atelier Ecriture

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Publié le 28 Janvier 2020

SILENCE, ON TOURNE !
  •  Silence on tourne ! Je me demande qui m’a fourni des comédiens pareils ? je ne dois pas oublier d’en parler à l’agence d’intérim au prix ou je la paye.
  • Je critique, je critique mais je n’ai encore rien compris ni rien entendu. Serait ce un film muet ?

  • A l’heure de la sieste, un tournage ? La Victorine, ils attendent quoi de nous ? Même les bêtes font la sieste dans la savane

  • Ils sont deux avachis, de vrais mollusques je me demande si on ne va pas faire une pause. Un peu hydratés et le ventre plein ca va peut-être les motiver un peu plus.

  • Une voix de stentor » Ecoutez les gars on n’est pas la pour roupiller mais pour tourner un film. Il fait chaud ! Mais on est a Nice sapristi alors tous à la fontaine et un quart d’heure à vous éclabousser les uns les autres et je veux vous voir revenir fringants. Attention le metteur en scène sortait de ses gonds.

  • C’est un peu n’importe quoi aujourd’hui vous n’êtes pas attentif aux autres et aux répliques. Courage il restera 3 heures après un petit encas. Julie le bébé c’est bon, Sébastien un peu de sérieux

  • C’est qu’elle insiste avec son bébé !! D’abord il est moche et puis cette jeune Julie elle a perdu sa sucette on est tous à cran.

  • Du coup on s’est perdu dans les focales d’abord sur Laurent, puis les acteurs, la jolie Julie et maintenant Sébastien, sans compter la chaleur suffocante et l’affreux gosse qui piaille. Reprenons «  on tourne »

  • Julie traverse le plateau, elle sort ses lunettes de soleil de son sac, à ce moment là Sébastien la croise, Julie fait une moue provocatrice, Sébastien subjugué se prend les pieds dans une planche mal jointe, patatras le voila à terre.

  • Elle se met aussitôt à beugler… elle a du se faire mal. Alors dans la famille je braille, je voudrais le fils, la mère…

  • Le metteur en scène en perd son chapeau ce n’est pas un film, c’est une foire. Et l’autre qui braille de feuilles en feuilles. Je vais t’en faire un cadavre exquis.

  • Silence, Vous êtes dans un Hôpital ! Ici c’est Ste Marie pas la Victorine.. Infirmiers, ramenez- moi tout ce beau monde dans leur chambre, la pause cinéma est finie.

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Rédigé par Atelier Ecriture

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Publié le 28 Janvier 2020

LE PORTE-VOIX NE FONCTIONNE PAS
 Le porte de voix ne fonctionne pas, crie l'acteur, enlève ton haut de forme, tu entendras mieux, énervé du retard pris !!!
 -  C'est vrai que doit on faire, il ne fait pas chaud, je vais mettre mon manteau, dit Julie faisant la moue !!

 Le chaud du manteau lui cloua le bec, au porte voix .

Julie, encore Julie. Qu'est ce qu'elle a fait pour être là ? susurre l'acteur un tant soit peu vénère. Et presque nue par dessus le marché!!

 Mais bien sûr, c'est la petite amie du producteur, elle n'a aucun talent, tous les acteurs sont excédés...

Ça c'était avant l'affaire Weinstein..
Mais à la Victorine, on s'en fout, on a eu B.B. qui dansait le mambo avec sa jupe fendue jusqu'en haut des cuisses .. Quel souvenir..  allez on s'y remet, restons concentrés.
Bon je vous rappelle que notre film est un reportage sur la sexualité destinée aux écoles, alors arrêtez de parler de Q...
C'est pour l'école ou le kindergasten ?
Le sexe c'est indéfini, ça va bien pour les mâles et les femelles, surtout lorsqu'ils s'accordent.
Et les désaccords, alors les merveilleuses disputes, gifles dans ta gueule, insultes grossières et réconciliations autour d'une blanquette de veau..

 Faut bien faire leur éducation à ces petits, qu'ils sachent un peu ce qu'il leur attend. Quoique maintenant avec les réseaux sociaux  des fois ils 

en savent plus que nous.
 
Un film pour parler sexualité aux ados? Ils me font bien rire dit le metteur en scène. Mais allons y puisqu'il le faut comme on dit "Quand le vin est
 tiré il faut le boire". Encore que par cette chaleur, il faut boire de l'eau.

 -  Du porno, non ah, ah dit Eric devenu tout rouge, la sexualité aux ados, c'est le rôle des éducateurs à l'école? ou alors genre 'Le Blé en Herbe' coquin, câlin, suggestif mais pas violent, pas tous les ados dont délurés ou axés sur la chose!!!!

 

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Rédigé par Atelier Ecriture

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Publié le 28 Janvier 2020

ÇA COGNE DUR..

Ça cogne dur aujourd'hui ! Malgré le parasol, le soleil brûle. Charly, en bras de chemise, n'a rien trouvé de mieux que le chapeau haut-de-forme chipé à l'accessoiriste.

Heureusement, j'ai pu protéger la caméra. Enfin, c'est le midi..

C'est même midi et demi, quand va-t-on manger ? Il serait temps car les trois hommes en bas sont avachis sur leurs sièges.

Chaque fois pareil ! Quand on tourne une pub pour Mac Do, personne n'a d'appétit.

Oh, mais, ça va leur revenir quand ils verront le buffet qu'on a préparé ! Ça n'est pas du Mac Do. Si on veut qu'ils tiennent le coup, faut bien s’occuper d'eux et c'est pas avec du Mac Do qu'ils vont reprendre du poil de la bête, il y a qu'à voir leurs tronches entre deux prises.

Sur les traits des acteurs, on devine la fatigue, l'énervement. On a beau promettre monts et merveilles, rien n'y fait, le moral n'y est pas.

 - Allez tout le monde, un peu d'effort, c'est un sujet intéressant, il faut vous mettre impérativement dans la peau du personnage. Les répétitions étaient parfaites. Trente minutes de repos. allez manger un bout et boire, car c'est vrai, il fait chaud.

 - Une équipe de bras cassés, quoi ! Dis Charly, t'as pas un peu de déo ?

Alors là, c'est Charly à la chocolaterie qui trimballe une équipe des Bronzés à la plage. Le moteur tourne, ou plutôt la caméra. Sauf qu'ils ont oublié d'ôter le cache, scotché par la chaleur. Charly, c'est le patron, tour le monde en a peur. Surtout Julie qui a déjà reçu des avances..

Charly hurle "coupez, coupez", il s'adresse au caméraman.. "t'as oublié le cache, non mais j'y crois pas, déjà que les acteurs sont ringards, si la technique s'y met aussi, moi, je démissionne.

En fait, c'est une "caméra cachée" ... pour le Grand Bêtisier de Noël 2020 que l'on prépare.

 Et Mac Do ?

 

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