L'ORIENT-EXPRESS : Jean-Baptiste descend à Prague
Publié le 12 Décembre 2024
Un dernier verre au wagon-salon avant de descendre à Prague où je rejoins Justine et Balthazar. Nous avons l'intention de pousser jusqu'au sud du pays pour tenter de visiter un ou deux châteaux parmi la trentaine de monuments médiévaux...
Je repense à ces trois jours d'enchanteresse agitation pour ma part... et bien sûr, il faut résumer les derniers moments accordés au vol d'un violon qui a mis le convoi en effervescence ! L'affaire a été résolue, le violon retrouvé dans la soute à charbon, un jugement a été prononcé sur un passager coupable et son acolyte le conducteur de train... Enfin tout ça recouvre une affaire beaucoup plus grosse mais ça m'ennuie de fouiller là-dedans.
Tout de même, je reste perplexe sur cette affaire, se dit Jean-Baptiste ; il reste 696 Stradivarius de par le monde; qui possède ce genre de bijou ?
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Un professionnel mondialement reconnu ?
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Un amoureux fou ?
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Un antiquaire ou un entiché de vieilleries célèbres ?
Quoi, le propriétaire d'un tel objet-bijou doit bien cacher une empreinte secrète que seule l'IRM ou le DOPPLER seraient aptes à mettre au jour.... bref je n'y connais rien de rien, dit Baptiste.
Vrai ou faux, authentique ou factice, cette qualité d'instrument doit coûter une blinde.
... Bien des émotions en somme : le sel de la vie.