PETITS POEMES
Publié le 17 Janvier 2024
SILLONS, ces rides que tu contemples avec émotion, chaque jours avec attention, dévotion, car elles te rappellent les joies, les émois, les sourires, les rires et les soupirs d’une vie animée. Car adorée, tu le fus, soupirants éconduits, mais ravis de ton
PLUIE ! ô ma mie, quel temps béni pour se réconforter en amis, Elle mouille les rêveuses des jardins, un matin de mars, les flaques sont les bienvenues pour jouer les ingénues enfantines qui y sautent à pieds joints.
Les LUMIERES des SILLONS, argentés par la PLUIE, n’ont de prise qu’un temps, la musique des mots, un flot de confidences, absence de compromis ternis par L’INCENDIE, délibérées et rêvées par des poètes désoeuvrés.