PETITS POEMES

Publié le 17 Janvier 2024

 
LUMIÈRES, évidentes, parsemées, adorées, sublimées de ton esprit en ébullition, ta ration journalière de bons mots.
Tôt, très tôt bientôt écrites sur une feuille blanche, par ton fidèle outil de travail, le stylo, ton ami de confiance, toujours en effervescence selon tes désirs.
 

 SILLONS, ces rides que tu contemples avec émotion, chaque jours avec attention, dévotion, car elles te rappellent les joies, les émois, les sourires, les rires et les soupirs d’une vie animée. Car adorée, tu le fus, soupirants éconduits, mais ravis de ton

 

insolence, non violence, mais patience.

 

PLUIE ! ô ma mie, quel temps béni pour se réconforter en amis, Elle mouille les rêveuses des jardins, un matin de mars, les flaques sont les bienvenues pour jouer les ingénues enfantines qui y sautent à pieds joints.

 

 

INCENDIE, au secours, mon cœur est épris, surpris, ravi, il s’étouffe, le feu intérieur le consume.
Une sensation, un son, une musique de fond. Mon amour reviens, ne pars pas, ne me quitte pas, reste là près de  moi, câlin, vilain, le veux tu.. 

Les LUMIERES des SILLONS, argentés par la PLUIE, n’ont de prise qu’un temps, la musique des mots, un flot de confidences, absence de compromis ternis par L’INCENDIE, délibérées et rêvées par des poètes désoeuvrés.

 

Rédigé par Dominique

Publié dans #Divers

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article